Usuario:ArredondoC-alejandro
Macrodistritos de la ciudad de La Paz | |||||||
# | Logo | siège | Effectif | téléphonie mobile | fourniture d'accès à Internet | Chiffre d’affaires | Parts de marchéCHF 11,43 Mrd |
1 | 5,082 | 32,68 | Urbano | ||||
Swisscom | Logo Swisscom.svg | 127,228 | 64,15 | Urbano | |||
Sunrise | Logo Sunrise.svg | 115,659 | 22,59 | Urbano | Zurich 1980 Wappen Zürich matt.svg | ||
UPC Suisse | 159,123 | 26,05 | Urbano | ||||
5 | Max Paredes | 164,566 | 13,31 | Urbano | |||
6 | Centro | 64,272 | 5,22 | Urbano | |||
7 | Cotahuma | 153,655 | 16,10 | Urbano | |||
23 | Zongo | Rural | |||||
22 | Hampaturi | Rural |
entre 54 et 60% des parts de marché, contre 24 à 28% pour Sunrise et 16 à 18% pour Orange. Leur marge opérationnelle est restée comparable, autour de 30%. Ralf Beyeler, de Comparis, Sunrise, exactement SUNRISE Communications AG, est une entreprise de télécommunications suisse. Elle est le deuxième opérateur de téléphonie mobile en Suisse, avec 26.2 % de parts de marché (fin 20151), derrière Swisscom (56.6 %) mais devant Salt (17,3 %). Elle est détenue par CVC Capital Partners, qui l'a acquise auprès du danois TDC (TDC.KO) en octobre 20102. Elle est connue pour son offre en téléphonie fixe, en fourniture d'accès à Internet et depuis sa fusion avec diAx en téléphonie mobile.
http://www.bilan.ch/economie/swisscom-reste-roi-sur-le-marche-des-telecommunications
Der SMI setzt sich aus folgenden Unternehmen zusammen (Stand: 17. Mai 2016).[1]
Bancos
[trukaña | chimp askichaña]Banca Universal y Comercial
[trukaña | chimp askichaña]RankingError en la cita: Parámetro inválido en la etiqueta <ref>
|
Institución financiera | Fundación | Tipo de banco | Tipo de capital | Cuota del mercado (%) | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Banco de Venezuela | 1890 | Banco Universal | Público | 20,5 | |||
2 | Banesco | 1992 | Banco Universal | Privado | 15,4 | |||
3 | BBVA Provincial | 1952 | Banco Universal | Privado | 12,2 | |||
4 | Banco Mercantil | 1925 | Banco Universal | Privado | 11,0 | |||
5 | Banco Occidental de Descuento BOD | 1957 | Banco Universal | Público | 6,8 | |||
6 | Bicentenario Banco Universal[2] | 2009 | Banco Universal | Privado | 5,5 | |||
7 | Banco del Tesoro | 2005 | Banco Universal | Público | 4,6 | |||
8 | Bancaribe | 1954 | Banco Universal | Privado | 4,3 | |||
9 | Banco Nacional de Crédito | 2002 | Banco Universal | Privado | 3,6 | |||
10 | Banco Exterior | 1956 | Banco Universal | Privado | 3,5 | |||
11 | Venezolano de Crédito | 1925 | Banco Universal | Privado | 1,9 | |||
12 | Banco Fondo Común | 1963 | Banco Universal | Privado | 1,9 | |||
13 | Banco Caroní | 1981 | Banco Universal | Privado | 1,1 | |||
14 | Banco Sofitasa | 1990 | Banco Universal | Privado | 1,0 | |||
15 | Banplus | 2007 | Banco Universal | Privado | 1,0 | |||
16 | Banco Plaza | 1989 | Banco Universal | Privado | 0,9 | |||
17 | Bancrecer | 2006 | Banco Comercial | Privado | 0,7 | |||
18 | Banco Activo | 1978 | Banco Universal | Privado | 0,6 | |||
19 | Del Sur | 1978 | Banco Universal | Privado | 0,6 | |||
20 | 100% Banco | 2006 | Banco Universal | Privado | 0,5 | |||
21 | Banco Agrícola de Venezuela | 2005 | Banco Universal | Público | 0,4 | |||
22 | Banco de la Fuerza Armada Nacional Bolivariana | 2013 | Banco Universal | Público | 0,4 | |||
23 | Citibank | 1917 | Banco Universal | Privado | 0,3 | |||
24 | Bancamiga | 2007 | Banco Comercial | Privado | 0,2 | |||
25 | Bangente | 1999 | Banco Comercial | Privado | 0,1 | |||
26 | Instituto Municipal de Crédito Popular (IMCP) | 1946 | Banco Comercial | Público | 0,1 | |||
27 | Mi Banco | 2006 | Banco Comercial | Privado | 0,1 | |||
28 | Banco de Comercio Exterior | - | Banco Universal | Privado | 0,1 | |||
29 | Novo Banco | 2015 | Banco Universal | Privado | 0,1 | |||
30 | Banco Internacional de Desarrollo | - | Banco Universal | Privado | 0,0 | |||
31 | Banco de Exportación y Comercio | - | Banco Comercial | Privado | 0,0 |
Plantilla:Voir homonymes Plantilla:2autres Plantilla:Infobox Société
Free SAS (anciennement Free Télécom[3]), stylisé en free, entreprise filiale du groupe Iliad, est l'un des principaux fournisseurs d'accès à Internet en France. En nombre d'abonnés haut débit Free vient en deuxième position en Plantilla:Date, derrière Orange, mais devant Bouygues Telecom et SFR[4]. En termes de chiffre d'affaires, Free se positionne cependant derrière SFR, en raison d'un revenu moyen par client plus faible. Le réseau de Free, utilisé aussi par d'autres sociétés du groupe Iliad, est appelé « Proxad ».
Offres commerciales en 2016
[trukaña | chimp askichaña]Offres hauts débit
[trukaña | chimp askichaña]- Freebox Revolution (de type ADSL, VDSL2 ou fibre optique FTTH), en zone dégroupée, à Plantilla:Unité par mois ; l'abonnement TV est en supplément à Plantilla:Unité par mois, ce qui porte le total triple play à Plantilla:Unité par mois.
- Freebox Crystal (ADSL), en hors zone de dégroupage ("ADSL nu" ou "collecte IP/ADSL") à Plantilla:Unité par mois. Un abonnement TV est en supplément à Plantilla:Unité par mois, ce qui porte le total triple play à Plantilla:Unité par mois. Un forfait appels vers les téléphones portables est disponible pour Plantilla:Unité par mois[5].
- Freebox Mini 4k (ADSL, VDSL2 ou FTTH) en zone dégroupé à 29,99€ par mois pour le triple play.
- AliceBox (ADSL) à Plantilla:Unité par mois sous la marque Alice qui appartient à Free. Longtemps vouée à migrer vers Freebox, AliceBox devient en 2013 la marque low-cost de Free. Par exemple, l'accès wi-fi au disque dur de la box est bridé.
Les clients qui le souhaitent peuvent demander une autre box pour Plantilla:Unité.
Offre bas débit
[trukaña | chimp askichaña]- Free 50 heures (de type modem analogique RTC) pour Plantilla:Unité par mois.
- Accès « gratuit » (RTC), gratuit concernant Free, hors coût d'appel téléphonique facturé par l'opérateur téléphonique, comme l'était au siècle dernier une connexion modem en appelant un numéro BBS.
Comparaisons tarifaires
[trukaña | chimp askichaña]- AliceBox est depuis 2013 l'offre triple play la moins chère de France métropolitaine devant la BBox à 1 centime de plus (Plantilla:Unité par mois). BBox offre les frais d'activation de Plantilla:Unité, car ils sont un dépôt de garantie en cas de non-paiement d'une facture, remboursables lors de la résiliation. Les frais d'activation AliceBox sont de Plantilla:Unité, mais il peut arriver que Free offre la première année d'abonnement lors d'offres temporaires via son partenaire Vente-privee.com. Les deux offres comportent les mêmes frais de résiliation à Plantilla:Unité. Cependant BBox offre la restitution du matériel en Point relais, alors que la restitution de matériel Free coûte Plantilla:Unité, tarif 2014 Colissimo R2 (assurance forfaitaire 200 euros), poids de 3 à 5 kg, avec preuve de dépôt (suivi du colis en ligne).
- L'offre triple play la moins chère de Belgique, en 2014, est à Plantilla:Unité par mois. Il s'agit de Scarlet, la marque low-cost de Belgacom, après le rachat de la partie belge d'Alice (marque de l'opérateur italien Tiscali).
- L'offre triple play la moins chère de Suisse, au Plantilla:Date-, est à Plantilla:Unité par mois (Plantilla:Unité). Il s'agit d'UPC Cablecom[6].
Abonnés
[trukaña | chimp askichaña]Au Plantilla:Date, Plantilla:Unité étaient abonnées à une offre Free Haut débit et Plantilla:Unité à une offre Alice ADSL. Le revenu moyen par abonné ADSL (Average Revenue Per User) était de Plantilla:Unité et de plus de Plantilla:Unité pour les abonnés à l'offre Freebox Revolution[7].
Au Plantilla:Date, Illiad annonce avoir franchi la barre des 5 000 000 d'abonnés Free et possède 5,257 millions d'abonnés haut débit, en incluant les offres Alice[8]. Selon le groupe, cette croissance s'explique par une synergie produite avec le lancement récent de son offre Free Mobile[8]. Dans ce même communiqué, l'entreprise affirme que 93,8 % de ces abonnés sont dégroupés.
Au troisième trimestre 2013, Free franchit la barre des 7,4 millions d'abonnés haut débit, avec 640 000 nouveaux abonnés pour son offre Free Mobile et 60 000 du côté de l'Internet fixe[9].
L'offre internet en réseau téléphonique commuté
[trukaña | chimp askichaña][[Fichier:Proxad FR.svg|thumb|upright=2.0|Le réseau national de ProXad (voir aussi : Maillage du réseau Free).]] Free fait figure de pionnier de l'accès à Internet sans abonnement, en France, en étant l'un des trois premiers à proposer le Plantilla:Date un accès à Internet sans abonnement ni numéro surtaxé. Ses prédécesseurs sur le créneau de l'accès sans abonnement furent World Online (Plantilla:1er avril 1999), puis Freesurf (19 avril 1999), mais sur un nombre de régions plus limité. Le nom de Free (« gratuit ou libre » en anglais) vient du fait que l'entreprise propose un accès bas débit à Internet gratuit en modem RTC[10] hors coût des communications téléphoniques, au tarif local et régional.
Ce service inclut le courrier électronique (POP3/IMAP4) accessible aussi par une interface Web IMP ou Zimbra. La destruction des courriers indésirables, ainsi qu'un classement automatique des courriers entrants dans différents répertoires (si on utilise l'interface Web), est possible grâce à l'outil mfilter. Dans le passé, mfilter permettait aussi d'envoyer une réponse automatique personnalisée à l'expéditeur déclaré des mails refusés. Cette possibilité a été supprimée entre le 23 et le 26 Plantilla:Date. Cette suppression a pour but d'éviter les problèmes de boucle avec les mails en réponse automatique signalant que l'expéditeur du spam n'existe pas[11].
Free propose également un hébergement Web gratuit dont la capacité initiale de Plantilla:Unité est passée à Plantilla:Unité depuis début 2005 puis Plantilla:Unité depuis Plantilla:Date par défaut avec support de PHP et MySQL. Depuis Plantilla:Date, Free propose également PostgreSQL. De plus, Free propose maintenant une gestion de plugins permettant de transformer son espace Web en wiki, album photo, blog… (ceci est actuellement suspendu à cause de bugs récurrents).
L'offre internet ADSL
[trukaña | chimp askichaña]Free est aussi l'une des entreprises françaises pionnières dans l'accès et l'offre Internet par ADSL, après un début chaotique au début de l'année 2000 qui servait principalement de test : à l'époque, les infrastructures techniques et légales n'étaient pas au rendez-vous (conflit notamment avec France Telecom sur le dégroupage).
En 2012, les négociations de la société Free avec Google butent pour financer la connexion entre le service Youtube et les abonnés Free, exposant ces derniers à une dégradation de la qualité de service[12].
L'offre triple play
[trukaña | chimp askichaña]Free lance enfin en Plantilla:Date une offre ADSL dégroupée à un prix plus attractif que ses concurrents, en ajoutant, plusieurs mois après, des services comme la téléphonie illimitée (Plantilla:Date) vers les fixes (VoIP : « Voice over IP » ou « voix sur réseau IP ») ou la télévision (Plantilla:Date) pour les abonnés bénéficiant de la Freebox et ceci sans surcoût d'abonnement. Le tarif a longtemps été fixé à Plantilla:Unité par mois, jusqu'en février 2011. Les opérateurs concurrents reprochent parfois (par voies indirectes)[13] à Free d'avoir imposé des prix trop bas sur le marché[14].
En octobre 2004, Free lance l'offre Plantilla:Nobr sur son réseau dégroupé : elle permet d'obtenir un débit supérieur par rapport à une connexion ADSL classique, à distance égale du central téléphonique et une portée supérieure des équipements à débit égal.
Le 14 décembre 2010, l'offre « Révolution » est lancée en zone dégroupée, avec un surcoût de prix pour du dégroupage total (surcoût lié à la mise à disposition de la boucle locale, ce qui n'était pas facturé avant). Elle inclut notamment la dernière Plantilla:Nobr dite « Révolution » (Freebox Server et Freebox Player) et des appels inclus vers les téléphones portables de tous les opérateurs français. L'accès au bouquet Plantilla:Nobr est en supplément pour les abonnés dégroupés.
L'offre mobile
[trukaña | chimp askichaña]Le groupe Iliad a créé la filiale Free mobile en 2009 sur le modèle de Free SAS, dont le même fondateur, Xavier Niel, a présenté lors d'une conférence le 10 janvier 2012, deux offres de téléphonie mobile sans engagement de durée. Ces services ont rapidement gagné des abonnés grâce à des tarifs inférieurs à ceux du marché.
Le 19 avril 2012, Free annonce le lancement de FreeWifi Secure à destination des utilisateurs mobile : il s'agit d'une connexion automatique au réseau Free Wifi via la carte SIM des téléphones mobiles, sans avoir besoin de saisir des identifiants[15]. Ce service utilise le protocole EAP-SIM.
Au 4 janvier 2013, Free a 14 agences de vente ainsi que Plantilla:Unité mobiles actives en France métropolitaine[16].
Le 3 décembre 2013, Free annonce la 4G sans surcoût dans les forfais mobiles. Le fair use monte à 20 Go si l'option 4G est activée. Free annonce par la même occasion 700 sites 4G activés[17].
Le 17 décembre 2013, Free annonce la location de mobiles, pour 24 mois[18].
Le Plantilla:1er septembre 2015, Free annonce que son forfait mobile 20 Go passe à 50 Go de données en 4G.
L'offre fibre FTTH
[trukaña | chimp askichaña]Plantilla:Loupe En septembre 2006, Free annonce une offre fibre optique en FTTH (Fiber To The Home). Fin septembre 2012, son président indique que le cuivre utilisé sur les lignes téléphoniques avait « encore beaucoup à donner », faisant allusion au VDSL2 qui permet une vitesse maximale théorique de Plantilla:Unité et dont l'expérimentation a débuté en France au second semestre 2012 pour un début de mise en place fin 2013[19].
Depuis le 14 décembre 2010, l'offre Révolution est disponible pour les abonnés FTTH au tarif de Plantilla:Unité par mois, avec les appels illimités vers les fixes et les mobiles en France métropolitaine et vers plus de 100 destinations à l'international, et sans la télévision (+Plantilla:Unité par mois).
Lancement
[trukaña | chimp askichaña]Plantilla:Unité en réception, Plantilla:Unité en émission, deux boîtiers Freebox pouvant recevoir la télévision en HD. Boitier Freebox Optique, dotée de quatre ports Ethernet, intégrant les fonctions routeur et Wi-Fi. Boitier Plantilla:Nobr, incluant un magnétoscope numérique et pouvant être relié à la Freebox Optique en Ethernet ou en Wi-Fi. Cet abonnement Free à très haut débit coûte alors Plantilla:Unité par mois, mais n'a jamais concerné que quelques quartiers dans les plus grandes villes.
Premiers déploiements
[trukaña | chimp askichaña]Fin 2008, le déploiement de la fibre par Free est loin derrière celui de Numericable[20].
En juillet 2011, l'Arcep prend la décision Plantilla:Numéro[21] pour répondre au besoin de la société France Télécom d'effectuer le raccordement d'un client dont l'opérateur d'immeuble est Free Infrastructure.
En septembre 2011, Free arrête l'envoi du boîtier Freebox optique et le remplace par une Plantilla:Unité et un convertisseur optique.
Critiques
[trukaña | chimp askichaña]D'après Les Échos, en 2011, 62 % des copropriétés ayant signé une convention avec Free ne seraient toujours pas connectés après les six mois de délais réglementaires. Par ailleurs, d'après ses concurrents, la société Free aurait adopté une attitude anticoncurrentielle qui pénaliserait 85 000 logements situés dans 7000 copropriétés[22]. Les sociétés SFR et Orange considèrent que la politique de Free contraint les ménages des immeubles gérés par Free, pour des limitations techniques de Free, à s'abonner à ce même FAI, biaisant ainsi la concurrence. Free est également critiqué pour sa lenteur et le non-respect des engagements pris auprès des syndics[23].
Enfin, Free est critiqué pour proposer des offres commerciales dans les immeubles fibrés par ses concurrents, sans fibrer les immeubles sur lesquels il a le monopole d'opérateur d'immeuble[24].
Désengagement en 2012
[trukaña | chimp askichaña]En 2012 et sous la pression de l'autorité régulatrice, l'Arcep, Free se rend compte que les conventions signées avec de nombreuses copropriétés sont devenues caduques faute d'avoir effectué les travaux dans les temps impartis (six mois). Dans certains cas, il en informe les copropriétaires en leur suggérant de recourir à un opérateur concurrent[25].
Avec environ 40 000 abonnés seulement en décembre 2012, soit 10 % du marché, Free est toujours peu présente dans le domaine de la fibre[26].
2013
[trukaña | chimp askichaña]En novembre 2013, les premiers NRO (Nœuds de raccordement optique) Free sont ouverts à Marseille, la deuxième ville de France[27].
Depuis octobre 2013, après avoir mené des essais en juin dans les départements de la Gironde et de la Dordogne[28], Free concurrence les offres « fibre optique » avec une technologie moins performante mais beaucoup moins coûteuse à mettre en place : le VDSL2, disponible pour ses abonnés équipés d'une Freebox Revolution et d'une ligne éligible[19].
Le Plantilla:1er octobre 2013, Free annonce un débit de Plantilla:Unité (et Plantilla:Unité en émission) sur toutes les Freebox Révolution éligibles à la fibre Free[29].
Laurent Laganier, Directeur de la réglementation et des relations avec les collectivités du groupe, expose les priorités de Free pour la fibre en décembre 2013 : déploiement dans les zones denses et acquisition d’abonnés dans les zones où il a déjà déployé son réseau[30]Plantilla:,[31].
Développement
[trukaña | chimp askichaña]Le dégroupage total
[trukaña | chimp askichaña]En 2004, Free est le second fournisseur d'accès en France à proposer le dégroupage total, après Alice (Telecom Italia en fin 2003) et permet au client final de s'affranchir de l'abonnement direct à France Télécom.
En 2013, Free est client de « 100 % des NRA-MED rattachés à un répartiteur dégroupés », même si 5 % ont été ratés[32].
L'internationalisation
[trukaña | chimp askichaña][[Fichier:Proxad International.svg|thumb|upright=2.0| Le réseau Proxad international avec les principaux nœuds français (Maillage du réseau Free) ]] Free possède le 3Plantilla:È réseau privé (DWDM classique) en termes de couverture nationale et de capacité (Plantilla:Unité de fibre optique en décembre 2010[33]). Le réseau de Free est désormais international. Il est présent :
- aux États-Unis:
- à Washington dans le centre Equinix de Ashburn
- à New York où il est connecté au point d'échange PAIX-NY depuis Londres
- à New York où il est connecté dans le centre Equinix (mais les liaisons ne sont pas utilisées au 5 mai 2010) depuis Paris (Bezon et Telehouse 2)
- à Miami où il est connecté au point d'échange NOTA dans le centre Terremark depuis Ashburn
- au Royaume-Uni où il est connecté au point d'échange London Internet Exchange à Londres depuis Paris, Amsterdam et Gravelines
- aux Pays-Bas où il est connecté au point d'échange AMS-IX à Amsterdam depuis Londres et Francfort)
- en Allemagne où il est connecté au point d'échange DE-CIX à Francfort depuis Paris, Strasbourg et Amsterdam
Bien que ces liaisons soient souvent sur des fibres optiques louées à d'importants opérateurs internationaux (Level 3, Global Crossing…), cela permet de diminuer significativement les coûts liés aux accords de transit (payants) en multipliant les accords de peering (gratuits).
Des accords de transit importants existent encore car Free s'appuie sur deux prestataires (Level 3 et Teleglobe) avec lesquels il dispose d'une capacité de transit de Plantilla:Unité[33].
Free opérait aussi un point d'échange à Paris nommé FreeIX[34] où étaient interconnectés jusqu'à Plantilla:Unité d'accès ou de service Internet (tels que Bouygues Telecom, Neuf/Cegetel, Global Crossing, Interoute…) ou des fournisseurs de contenu (Google…)[35]. Il a été définitivement fermé le 30 août 2011[36].
Position de l’opérateur dans les différents classements
[trukaña | chimp askichaña]- Test des débits de Degrouptest, Plantilla:1er 2012 : FTTx : Plantilla:1er (Plantilla:Unité de débit montant moyen) et Plantilla:2e (Plantilla:Unité de débit descendant moyen). ADSL : Plantilla:1er (Plantilla:Unité de débit descendant moyen et Plantilla:Unité de débit montant moyen)[37]
- Test des débits de Degrouptest, avril 2010 : Plantilla:2e (Plantilla:Unité de débit descendant moyen)[38]
- Note moyenne du Plantilla:16e baromètre des FAI de l’Internaute, juillet 2010 : 12,7/20[39]
- Dernier du classement avec une note moyenne du comparatif de la sécurité des FAI établi par Ghusse, janvier 2010 : 11/50[40]
- Rang sur le baromètre des FAI du Monde Informatique et de Witbe, juin 2009 : Plantilla:5e[41]
- Rang sur le baromètre de satisfaction des FAI du magazine Que choisir, mai 2012 : Plantilla:1er[42]
Services
[trukaña | chimp askichaña]Stratégie et critiques
[trukaña | chimp askichaña]La stratégie « low cost » de Free conduit à proposer des prestations différenciées entre d'une part, le peu de grandes villes qui bénéficient de la fibre optique et d'autre part, l'installation tardive de l'ADSL par des NRA-MeD, financés pour l'essentiel par les impôts. La promotion qu'en fait Free suscite une position sceptique de l'Association des Villes et Collectivités pour les Communications électroniques et l’Audiovisuel (Avicca, organisateur du colloque annuel Territoires et Réseaux d'Initiative Publique)[43].
Pour tous les abonnés
[trukaña | chimp askichaña]- Messagerie électronique avec 10 Go d'espace (nombre d'adresses électroniques illimité, antispam et filtres)[44].
- Hébergement de pages perso avec un espace de 10 Go et services associés (PHP, MySQL/PostgreSQL…).
Freebox
[trukaña | chimp askichaña]- Accès à Internet (jusqu'à 1 Gbit/s en réception et 200 Mbit/s en émission en FTTH, en zone fibrée dans un premier temps (en ADSL, 28 Mbit/s en réception au maximum et Plantilla:Unité en émission en zone dégroupée au maximum et Plantilla:Unité en réception et Plantilla:Unité en émission en zone non dégroupée, débits maximum ATM) et services associés (adresse IP fixe, reverse DNS, DHCP, routeur, Wi-Fi, WoL, switch, wifi MIMO…).
- Premier opérateur grand public à proposer la connectivité à internet en IPv6.
- FreeWifi depuis le 26 mai 2009[45] chaque Plantilla:Unité devient un hotspot.
- Téléphonie par VoIP (illimitée vers tous les téléphones fixes de France métropolitaine et 96 destinations à partir du Plantilla:1er 2009) et services associés (messagerie vocale et autres fonctionnalités classiques, compte SIP, Ring Back Tone…)
- Télévision pour les abonnés dégroupés disposant de l'option payante grâce aux bouquets Plantilla:Unité, Canalsat, Canal+ le bouquet, Canalplay (VOD) et services associés (Freeplayer, Multiposte…)
- Télévision sur ordinateur pour les abonnés dégroupés.
- Envoi et réception de télécopies et numéro associé depuis le 25 avril 2007.
- Depuis la Freebox HD : disponibilité de contenus HD (Roland Garros, concerts, quelques films, coupe du monde FIFA), Multiposte HD, enregistreur numérique (depuis le 4 septembre 2006), TV Perso permet de créer sa propre chaîne de télévision grâce à une caméra ou autre source (depuis le 28 juin 2007)
- Premier opérateur Français à proposer une box tv avec lecteur Blu-ray (annonce par communiqué de presse le 14 décembre 2010).
- 2013: Dépôt de la marque SimBox
- Le 10 mars 2015, Xavier Niel annonce le lancement d'une box "entrée de gamme" : la « Freebox Mini 4K », en remplacement de la « Freebox Crystal »[46].
Serveurs
[trukaña | chimp askichaña]- serveur POP3 :
pop.free.fr
- port
110
: authentification sécurisée via APOP, connexion non sécurisée - port
995
: connexion sécurisée via SSL
- port
- serveur IMAP :
imap.free.fr
- port
143
: authentification et connexion non sécurisées - port
993
: connexion sécurisée via SSL
- port
- serveur SMTP :
smtp.free.fr
- port
25
: sans authentification[note 1], connexion non sécurisée - port
465
: authentification (facultative) permettant l'envoi d'e-mails depuis n'importe quel point d'accès, connexion sécurisée - port
587
: authentification (facultative) permettant l'envoi d'e-mails depuis n'importe quel point d'accès, connexion non sécurisée
- port
- serveur NNTP :
news.free.fr
(port119
, accès également possible via les ports53
,80
,109
,110
,143
,220
,434
,443
,993
et995
) - serveurs DNS : adresses IP variables suivant les connexions, elles sont données par le serveur DHCP (ces adresses ont été modifiées en 2008, les serveurs
212.27.54.252
et212.27.53.252
ont été maintenus jusqu'en Plantilla:Date)- serveur DNS primaire :
212.27.40.240
- serveur DNS secondaire :
212.27.40.241
- serveur DNS primaire :
- serveurs NTP :
Fondation d'Entreprise Free
[trukaña | chimp askichaña]La Fondation d'Entreprise Free a été créée le 11 septembre 2006[47] sur l'idée de Xavier Niel afin de s'occuper des nouveaux services développés par la société via Iliad. Le but est de pouvoir fournir des services minimaux de communication, tout en profitant du développement du FTTH. Ces réseaux optiques créés dans les bâtiments permettent ainsi d'avoir une ligne reliée à ce système optique et disposant d'une connexion internet gratuite, d'une réception des chaînes de la TNT et d'une ligne téléphonique.
Autres services
[trukaña | chimp askichaña]Free héberge les miroirs de nombreux logiciels libres et de distributions Linux.
Free permet de stocker un fichier allant jusqu’à Plantilla:Unité pendant une durée de 30 jours (renouvelés à chaque téléchargement du fichier, le nombre de jours dépend de l'espace libre des serveurs). Cela peut permettre de s'affranchir de certaines limites imposées aux utilisateurs de messagerie électronique (ce genre de service limite généralement l'envoi de pièces jointes à 2-5 Mo). Ce service est réservé en priorité aux abonnés Free, c'est pourquoi il existe une limitation de bande passante pour tout abonné d'un autre opérateur. Ce service est Plantilla:Quand en version expérimentale beta[48].
Free héberge des pages personnelles et des blogs (via le service blog.free.fr).
Filtrage peer to peer
[trukaña | chimp askichaña]Il est arrivé que pour certaines zones non dégroupées, un bridage des protocoles de P2P mis en place se soit transformé en blocage quasi total, contrariant par ce fait toute utilisation légale du P2P[49].
Publicités
[trukaña | chimp askichaña]Crétin.fr
[trukaña | chimp askichaña]Free utilisait la marque fictive Crétin.fr.
Le principe du site Crétin.fr consistait d'une part à la parodie proprement dite d'un concurrent fictif prenant ses abonnés pour des « crétins », d'autre part à permettre aux « freenautes » de déposer leurs propres films parodiques et voter pour leur film parodique préféré. Les films ayant obtenu le plus grand nombre de votes gagnaient le renouvellement gratuit de leur Freebox Plantilla:Nobr, constituée d'un seul boîtier, par une Plantilla:Nobr avec ses deux boîtiers logiciellement évolutifs pouvant gérer un Plantilla:Nobr.
Rodolphe
[trukaña | chimp askichaña]À partir de 2009, les nouvelles publicités télévisuelles de Free sont centrées autour d'un personnage : Rodolphe. Il s'agit d'un jeune adulte clairement geek, portant une barbe hirsute, de grosses lunettes et des vêtements ringards, qui vit chez sa mère, mais est plutôt débrouillard. Contrairement à Alice (marque du groupe Iliad depuis 2008) et sa jolie blonde, les publicités qui mettent en scène Rodolphe sont ouvertement humoristiques, tout en mettant en avant les atouts commerciaux et techniques des services de Free. Le slogan « il a Free, il a tout compris » reste l'un des plus célèbres de la marque.
Freebox Révolution
[trukaña | chimp askichaña]À partir de janvier 2011, les publicités basées sur le personnage de Rodolphe ont laissé place à quatre publicités dédiées à la Freebox Révolution. Ces publicités au ton décalé mettent en scène un personnage sorte de gourou complètement fou dans quatre univers différents (western, tango, tronçonneuse, télévision-téléphone) où l'on voit des scènes surréalistes comme un cochon vêtu d'un tutu ou une banane courir après un gorille.
En juin 2011, ces publicités laissent place à deux nouveaux spots au style complètement différent, très sobres et épurés, avec comme unique bande sonore une musique.
Assistance
[trukaña | chimp askichaña]Free offre un service d'assistance technique par téléphone (au 3244), au tarif Azur depuis une ligne fixe et gratuit depuis une Freebox Révolution. En zone dégroupée, un technicien peut se déplacer chez l'abonné, gratuitement si les problèmes ne sont pas imputables au client. L’assistance est aussi disponible par d'autres canaux :
- via le site d'assistance de l'opérateur[50], permettant une résolution autonome des problèmes avec une foire aux questions, ou l'ouverture de tickets incidents pour faire intervenir des techniciens ;
- via les newsgroups[51] (seul service d'assistance officiel pour les pages perso et les blogs. On y rencontre plus souvent les administrateurs des différents services que sur les autres canaux d'assistance) ;
- et plus récemment via les comptes Twitter[52] et Facebook[53].
Tous ces canaux sont gérés à travers le CRM de la société et assurent le même suivi client[54].
Il est également possible d'obtenir une assistance en ligne par tchat ou par courrier électronique[55]. Il y a également un service d'assistance par visioconférence : Face to Free. Ce service exige une webcam, un smartphone ou une tablette[56].
Plaintes et condamnations
[trukaña | chimp askichaña]Le 21 février 2006, Free est condamné par le Tribunal de grande instance de Paris à payer Plantilla:Unité à titre de dommages-intérêts à l'UFC-Que Choisir et Plantilla:Unité à l'association Familles de France pour Plantilla:Unité dans les conditions générales de vente de Free jugés abusifs. Free a réagi en regrettant Plantilla:Citation. Un peu plus de deux mois plus tard, Free informe ses abonnés du changement des CGV.
En mai 2006 l'association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir lance plusieurs centaines de procédures judiciaires contre la société, à la suite d'un grand nombre de plaintes d'abonnés. À la suite d'une plainte contre X en diffamation, les dirigeants d'UFC-Que Choisir ont été mis en examen. Cette dernière plainte a finalement été rejetée par la cour d'appel de Paris (Plantilla:11e). En juillet 2007, Free est condamnée à rembourser trois abonnés et à payer Plantilla:Unité de dommages et intérêts à l'UFC-Que Choisir, mais elle fait appel. Un nouveau procès est prévu en novembre 2009[57].
En octobre 2009, l'association UFC-Que Choisir attaque Free qui est le seul FAI français à surtaxer sa hotline (Plantilla:Unité la minute sans compter les surfacturations des opérateurs de téléphonie mobile)[57]. Le 7 décembre 2009, la même association annonce qu'elle a saisi le Tribunal de grande instance de Paris à l'encontre de Free pour « pratiques déloyales et illicites dans ses conditions de vente »[58].
En mars 2011, le Tribunal de grande instance de Paris, saisi par l'association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir en mars 2010, a ordonné à Free de cesser ses « pratiques commerciales illicites » et ses « pratiques commerciales trompeuses »[59].
La justice a déclaré illégaux :
- Les frais d'activation différés : Plantilla:Unité (moins Plantilla:Unité par mois d’ancienneté et moins Plantilla:Unité par mois pour Freebox Révolution) facturé aux abonnés souhaitant résilier leur abonnement. Pour la justice, il s'agissait de frais de résiliation non justifiés : Plantilla:Nobr du code de la consommation oblige les opérateurs à facturer des frais de résiliation en adéquation avec leur coût réel.
- Le tribunal a également donné raison à l'UFC-Que Choisir sur d'autres pratiques, mais auxquelles Free a mis fin depuis le dépôt de la plainte de l’UFC Que Choisir en mars 2010 : option Service Plus pré-cochée ou encore l'utilisation de termes trompeurs (Plantilla:Citation ; Plantilla:Citation ; Plantilla:Citation)[60].
Le 7 février 2012, Free est condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour « pratiques commerciales trompeuses » à l'occasion du lancement de son offre triple-play en 2005[61]. La société doit s'acquitter d'une amende de Plantilla:Unité, payer Plantilla:Unité de dommages et intérêts à l'UFC-Que Choisir, modifier ses conditions générales dans un délai de Plantilla:Unité sous peine d'une astreinte de Plantilla:Unité par jour de retard et publier la condamnation dans la presse et sur la page d'accueil de leur site interne.
En 2012 une affaire de justice remet en question le fait que Free ait été élu en 2010 au prix service client de l'année dans la catégorie Opérateurs de Téléphonie fixe et Internet lors d’une étude réalisée par BVA-Viséo Conseil[62]. SFR a fait condamner Free en 2012 parce que Plantilla:Citation[63]Plantilla:,[64].
Controverses sur le respect des logiciels libres
[trukaña | chimp askichaña]Free utilise des logiciels libres dans un grand nombre de ses équipements, dont la Freebox qui est prêtée à ses abonnés : elle utilise Linux pour son noyau, ainsi que d'autres logiciels sous Plantilla:Nobr, notamment pour ses divers pilotes. Or, la GPL (utilisée dans un certain nombre des logiciels mis en œuvre par la Freebox) impose de publier le code source de tout logiciel basé sur un logiciel sous GPL, ou réutilisant tout ou partie de son code, notamment lorsqu'il est distribué et même en location (voir tivoisation). Mais Free a toujours refusé de publier le code source des logiciels utilisés par sa Freebox, estimant qu'il n'y avait pas distribution, le terminal Freebox étant produit et prêté à l'abonné qui est tenu de le restituer en fin d'abonnement (ceci est un raisonnement non valable à partir de la GPLv3). La Freebox est dite propriété insaisissable, au même titre que les compteurs électriques ou de gaz propriétés de leurs compagnies respectives. Le client ne peut donc pas modifier le terminal, sous peine d'être facturé lors de la résiliation (Plantilla:Unité pour Plantilla:Nobr, Plantilla:Unité pour le boîtier multimédia de la Plantilla:Nobr, Plantilla:Unité pour le boîtier ADSL de la Freebox HD[65]).
Free a finalement décidé de publier ce contenu sur un site[66].
Notes et références
[trukaña | chimp askichaña]Notes
[trukaña | chimp askichaña]Références
[trukaña | chimp askichaña]Annexes
[trukaña | chimp askichaña]Articles connexes
[trukaña | chimp askichaña]Liens externes
[trukaña | chimp askichaña]Plantilla:Palette Plantilla:Portail
Catégorie:FAI français Catégorie:FAI en France * Catégorie:Entreprise fondée en 1999 Catégorie:Opérateur français de télécommunications
Plantilla:Voir homonymes Plantilla:Infobox Société
Salt, anciennement Orange Communications, est une entreprise de télécommunications suisse. Elle est le troisième opérateur de téléphonie mobile en Suisse, avec 18,2 % de part de marché, derrière Swisscom avec 54,9 % et Sunrise avec 26,9 % (31 mars 2015)[67]. L'entreprise est renommée Salt le 23 avril 2015 à la suite de son rachat par Xavier Niel[68].
Histoire
[trukaña | chimp askichaña]Orange Suisse, filiale du britannique Orange PLC, devient le troisième opérateur de téléphonie mobile en Suisse en 1999. La société est détenue par Orange PLC (42,5 %), VIAG devenu E.ON (42,5 %), Banque cantonale vaudoise (10 %) et Swissphone (5 %).
France Télécom acquiert 85 % de la société en 2000 à la suite de l'acquisition de Orange PLC et au rachat de la part détenue par E.ON[69].
France Télécom, maintenant Orange, revend la société en 2012 à Matterhorn Mobile SA, filiale de Apax Partners pour 2 milliards CHF (1,6 milliards EUR)[70]. La marque Orange continue d'être utilisée sous licence[71].
En décembre 2014, Xavier Niel, via sa holding NJJ Capital, annonce le rachat de la société pour 2,8 milliards CHF (2,3 milliards EUR)[72].
Orange Suisse appartient intégralement à la société du Français Xavier Niel depuis le 23 février 2015, à la suite du feu vert du transfert de concession accordé le 12 février 2015 par la Commission fédérale de la communication (ComCom)[73].
L'entreprise change de nom le 23 avril 2015 : elle s'appelle désormais Salt[74]. Dès l'annonce du changement de nom le 23 avril 2015 jusqu'au 27 avril 2015, l'ensemble des magasins Orange en Suisse sont fermés pour mettre à jour leurs enseignes.
Identité visuelle
[trukaña | chimp askichaña]Jusqu'en avril 2015, l'entreprise utilise le logo de la franchise Orange. Après son renommage, elle présente un nouveau logotype.
-
Premier logo de 1998 à 2015.
-
Deuxième logo depuis 2015.
Fréquences
[trukaña | chimp askichaña]Salt utilise les fréquences suivantes depuis la dernière attribution en 2012[75]:
Bande de fréquences | Salt |
---|---|
800 MHz | 20 MHz |
900 MHz | 10 MHz |
1800 MHz | 50 MHz |
2100 MHz | 40 MHz |
2600 MHz | 40 MHz |
Références
[trukaña | chimp askichaña]Liens externes
[trukaña | chimp askichaña]Catégorie:Entreprise suisse de télécommunications Catégorie:Opérateur de télécommunications Catégorie:Entreprise vaudoise Catégorie:Internet en Suisse
Bancos públicos
[trukaña | chimp askichaña]Obs.: Alguns destes bancos, apesar de serem de controle público, possuem parte de seu capital negociado na Bolsa de Valores de São Paulo - BM&FBovespa.
Bancos privados
[trukaña | chimp askichaña]Bancos cooperativos
[trukaña | chimp askichaña]Cód. | Banco | Sigla | Website |
---|---|---|---|
756 | Banco Cooperativo do Brasil - BANCOOB | BANCOOB | www.bancoob.com.br |
748 | Banco Cooperativo Sicredi - BANSICREDI | SICREDI | www.sicredi.com.br |
De acuerdo a un estudio realizado por la ABA (Asociación de Bancos de la Argentina), los ocho primeros bancos (2016) por nivel de depósitos del financiero[77] son:[78]
- Banco de la Nación Argentina 29.3% de participación
- Banco de la Provincia de Buenos Aires 8.6% participación
- Banco Santander Río 7% participación
- Banco Galicia5.8% de participación
- BBVA Francés6% de participación
- Banco Macro5:6% de participación
- HSBC Bank Argentina 4.3% de participación
- Banco Credicoop 3.8% de participación
- Otros bancos: 29.6% de participación[79]
El pago en parte fue financiado por Venezuela, quien compró obligaciones argentinas por 1.600 millones de dólares. Unos días antes de este hecho, Brasil también había cancelado la totalidad de su deuda con el FMI.
ancos en México: BANCO NACIONAL DE MEXICO, S.A. BANCO SANTANDER (MEXICO), S.A., INSTITUCION DE BANCA MULTIPLE, GRUPO FINANCIERO SANTANDER MEXICO HSBC MEXICO, S.A. SCOTIABANK INVERLAT, S.A. BBVA BANCOMER, S.A. BANCO MERCANTIL DEL NORTE, S.A. BANCO INTERACCIONES, S.A., INSTITUCION DE BANCA MULTIPLE, GRUPO FINANCIERO INTERACCIONES BANCO INBURSA, S.A. BANCA MIFEL, S.A. BANCO REGIONAL DE MONTERREY, S.A. BANCO INVEX, S.A. BANCO DEL BAJIO, S.A. BANSI, S.A. BANCA AFIRME, S. A. BANK OF AMERICA MEXICO, S.A. BANCO J.P. MORGAN, S.A. BANCO VE POR MAS, S.A. AMERICAN EXPRESS BANK (MEXICO), S.A. INVESTA BANK, S.A., INSTITUCIÓN DE BANCA MÚLTIPLE CIBANCO, S. A. BANK OF TOKYO-MITSUBISHI UFJ (MEXICO), S.A. BANCO MONEX, S.A. DEUTSCHE BANK MEXICO, S.A. BANCO AZTECA, S.A. BANCO CREDIT SUISSE (MEXICO), S.A. BANCO AUTOFIN MEXICO, S.A. BARCLAYS BANK MEXICO, S.A. BANCO AHORRO FAMSA, S.A. INTERCAM BANCO, S.A., INSTITUCIÓN DE BANCA MÚLTIPLE, INTERCAM GRUPO FINANCIERO ABC CAPITAL, S.A. INSTITUCION DE BANCA MULTIPLE BANCO ACTINVER, S.A. BANCO COMPARTAMOS, S.A. BANCO MULTIVA, S.A. UBS BANK MEXICO, S.A. BANCOPPEL, S.A. CONSUBANCO, S.A. BANCO WAL-MART DE MEXICO ADELANTE, S.A. VOLKSWAGEN BANK, S.A. BANCO BASE, S.A. BANCO PAGATODO, S.A. BANCO FORJADORES, S.A. BANKAOOL, S.A., INSTITUCIÓN DE BANCA MÚLTIPLE BANCO INMOBILIARIO MEXICANO, S.A. FUNDACION DONDE BANCO, S.A. BANCO BANCREA, S.A. Además de la banca comercial, existen los bancos de Desarrollo:
ANCO NACIONAL DE COMERCIO EXTERIOR, S.N.C. BANCO NACIONAL DE OBRAS Y SERVICIOS PUBLICOS, S.N.C. NACIONAL FINANCIERA, S.N.C. BANCO NACIONAL DEL EJERCITO, FUERZA AEREA Y ARMADA, S.N.C. BANCO DEL AHORRO NACIONAL Y SERVICIOS FINANCIEROS, S.N.C. SOCIEDAD HIPOTECARIA FEDERAL, S.N.C. También tienen sus oficinas estas instituciones con representación en el país: BANCO DE SABADELL, S.A., SABADELL, ESPAÑA BANCO DO BRASIL, S.A BANCO CAIXA GERAL, S.A. BANK OF AMERICA, NATIONAL ASSOCIATION, CHARLOTE, CAROLINA DEL NORTE. ESTADOS UNIDOS DE NORTEAMERICA BANK OF MONTREAL, MONTREAL, CANADA BNP PARIBAS, PARIS, FRANCIA BANAMEX USA COMERICA BANK COOPERATIEVE CENTRALE RAIFFEISEN-BOERENLEENBANK B.A., UTRECHT, HOLANDA JP MORGAN CHASE BANK, NATIONAL ASSOCIATION, NEW YORK, NEW YORK, ESTADOS UNIDOS DE NORTEAMERICA DEUTSCHE BANK, A.G., FRANKFURT, ALEMANIA, OFICINA DE REPRESENTACION EN MEXICO ING BANK, N.V., AMSTERDAM, HOLANDA SERFIN INTERNATIONAL BANK AND TRUST, GEORGE TOWN, GRAN CAIMAN, ISLAS CAIMAN. I.B. OCC. OFICINA DE REPRESENTACION EN MEXICO SOCIETE GENERALE, PARIS, FRANCIA STANDARD CHARTERED BANK, LONDRES, INGLATERRA THE BANK OF NEW YORK MELLON THE BANK OF TOKYO-MITSUBISHI, UFJ, LTD. THE EXPORT-IMPORT BANK OF KOREA UBS AG., DE ZURICH Y BASILEA, SUIZA CREDIT AGRICOLE CORPORATE AND INVESTMENT BANK, OFICINA DE REPRESENTACION EN MEXICO BANCO LATINOAMERICANO DE COMERCIO EXTERIOR, S.A. SAFRA NATIONAL BANK OF NEW YORK, NUEVA YORK, N.Y., ESTADOS UNIDOS DE NORTEAMERICA LANDESBANK BADEN-WURTTEMBERG, DE STUTTGART, REPUBLICA FEDERAL DE ALEMANIA MIZRAHI TEFAHOT BANK LTD. FALCON INTERNATIONAL BANK, LAREDO, TEXAS, ESTADOS UNIDOS DE NORTEAMERICA, OFICINA DE REPRESENTACIN EN MEXICO, MONTERREY, NUEVO LEON. MIZUHO BANK, LTD, OFICINA DE REPRESENTACIÓN EN MÉXICO DEG-DEUTSCHE INVESTITIONS-UND ENTWICKLUNGSGESELLSCHAFT MBH, COLONIA, REPUBLICA FEDERAL DE ALEMANIA CREDIT SUISSE AG, DE ZURICH, CONFEDERACION SUIZA, OFICINA DE REPRESENTACION EN LA CIUDAD DE MONTERREY, NUEVO LEON, MEXICO BANCO DE CREDITO E INVERSIONES, SOCIEDAD ANONIMA BANCARIA FALCON INTERNATIONAL BANK, OFICINA DE REPRESENTACION EN GUADALAJARA, JALISCO, MEXICO. HELM BANK USA BANCO GENERAL, S.A. ISRAEL DISCOUNT BANK OF NEW YORK NATIXIS, OFICINA DE REPRESENTACION SHINHAN BANK SUMITOMO MITSUI BANKING CORPORATION MERCANTIL, C.A., BANCO UNIVERSAL Y MERCANTIL COMMERCEBANK, NATIONAL ASSOCIATION, OFICINA DE REPRESENTACION CONJUNTA EN MEXICO CREDIT INDUSTRIEL ET COMMERCIAL, S.A. BANK HAPOALIM B.M. Y BANK HAPOALIM (SWITZERLAND), LTD, OFICINA DE REPRESENTACION CONJUNTA EN MEXICO WELLS FARGO BANK, NATIONAL ASSOCIATION BANCO ESPIRITO SANTO, S.A. Y BANCO ESPIRITO SANTO DE INVESTIMENTO, S.A. BANCO LATINOAMERICANO DE COMERCIO EXTERIOR, S.A. OFICINA DE REPRESENTACION EN MONTERREY N.L. KREDITANSTALT FUR WIEDERAUFBAU BANK LEUMI LE-ISRAEL, B.M. Y BANK LEUMI (LUXEMBOURG) S.A., OFICINA DE REPRESENTACION CONJUNTA EN MEXICO LIBERBANK, S.A. NCG BANCO, S.A. BANCO LAFISE (HONDURAS), S.A., BANCO LAFISE PANAMA, S.A., BANCO LAFISE, S.A. Y BANCO LAFISE BANCENTRO, S.A. BAC FLORIDA BANK JAPAN BANK FOR INTERNATIONAL COOPERATION BANCO POPULAR ESPAÑOL, S.A. KFW IPEX-BANK GMBH OFICINA DE REPRESENTACIÓN EN MÉXICO
INE
[trukaña | chimp askichaña]http://www.ine.gob.bo/PDF/SALARIO_PARTE_1.pdf
http://www.ine.gob.bo/pdf/CENSO_POBLACION_FINAL.pdf
http://www.ine.gob.bo/pdf/Parque%20Automotor%20Parte%201.pdf
http://www.ine.gob.bo/pdf/%C3%8Dndice_Salario_Medio_Nominal.PDF
http://www.ine.gob.bo/pdf/CIFRAS_EN_TIEMPOS_DE_CAMBIO.pdf
http://www.ine.gob.bo/pdf/FOLLETO_TARIJA.pdf
http://www.ine.gob.bo/pdf/TIC_EN_EMPRESAS_2012_WEB.pdf
http://www.ine.gob.bo/pdf/boletin/indicadores_de_competitividad_2013_2.pdf
http://www.ine.gob.bo/pdf/Retos_Compromisos_2015/PINCELAZO_ALASITA%20.pdf
http://www.ine.gob.bo/pdf/construccion/Anuario_de_la_construccion_2013.pdf
http://www.ine.gob.bo/pdf/Anuario_2012/AnuarioEstadistico2012.pdf
- ↑ http://www.six-swiss-exchange.com/monthly_reports/productive_env/2015/05/Mb_swx_stat_201505.pdf
- ↑ Banco Bicentenario mejoró servicio en más de 500 oficinas YVKE Mundial Radio. 28 de febrero de 2011.
- ↑ Plantilla:Lien Web
- ↑ Plantilla:Lien Web http://www.iliad.fr/finances/2012/CP_150512.pdf
- ↑ Mon Compte, Téléphone, puis « Gestion de mes options (Algérie, mobile) ».
- ↑ Comparatif des offres triple et quadruple play en Suisse, au 22 octobre 2014, Bonus.ch
- ↑ Communiqué de presse des résultats du premier trimestre 2012 Plantilla:Pdf.
- ↑ 8,0 8,1 Communiqué de presse - Chiffre d'affaires du Plantilla:3e trimestre 2012, sur illiad.fr publié le 15 novembre 2012. Consulté le 16 novembre 2012.
- ↑ Free dépasse les 7 millions d’abonnés, Le Parisien, 16/11/2013
- ↑ Free La sociétéPlantilla:Pdf Présentation site officiel
- ↑ Plantilla:Lien Web
- ↑ http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/free-mobile-briderait-youtube-et-l-appstore_324604.html
- ↑ Free, isolé dans la hausse du prix du triple play
- ↑ L'après-Hadopi: l'impossible licence légale
- ↑ Free annonce le FreeWifi Secure. Webactus.net, publié le 19 avril 2012. Consulté le 19 avril 2012.
- ↑ X.Niel, Free : nous avons 1000 antennes actives, la concurrence fait tout pour nous discréditer. Business mobile.fr, publié le 25 janvier 2012. Consulté le 28 janvier 2012.
- ↑ http://www.freenews.fr/spip.php?article14153
- ↑ http://www.universfreebox.com/article/23379/Location-de-smartphones-chez-Free-toutes-les-reponses-a-vos-questions
- ↑ 19,0 19,1 Free lance le VDSL 2 sur toute la France, avec les meilleurs débits - UniversFreebox, Plantilla:1er octobre 2013
- ↑ Plantilla:Lien Web
- ↑ Plantilla:Lien web Plantilla:Pdf
- ↑ Fibre optique : Free dépassé ? - ZDNet, 7 octobre 2011
- ↑ FTTH : Free en monopole, Orange et SFR saisissent l'ARCEP - Nil Sanyas, PC INpact, Plantilla:1er juin 2011
- ↑ SFR : une nouvelle offre ADSL en septembre et une pique contre Free sur la fibre - Olivier Chicheportiche, ZDNet, 31 mai 2012
- ↑ Comprendre la lettre de Free Infrastructure - Ville de Longjumeau
- ↑ Recrutements d'abonnés FTTH : mais que font les concurrents d'Orange ? : Ils s'appuient sur l'ADSL - PC INpact, Plantilla:1er mars 2013
- ↑ Le réseau fibre optique de Free sur le feu à Marseille - UniversFreebox, 27 novembre 2013
- ↑ Free va proposer le VDSL2 en Dordogne et en Gironde - Le Journal du Net, 7 juin 2013
- ↑ Free passe la fibre à 1 Gbps sur toutes les Freebox Révolution ! - Guillaume Champeau, Numerama, Plantilla:1er octobre 2013
- ↑ FTTH : la priorité de Free "est le déploiement dans les immeubles en zone dense", les zones rurales "viendront plus tard" - UniversFreebox, 5 décembre 2013
- ↑ Réunion plénière du Groupe d'échanges entre l'ARCEP, les collectivités territoriales et les opérateurs (GRACO) - Arcep, 4 décembre 2013, à 2:37:15 Plantilla:Vid
- ↑ http://www.universfreebox.com/article/23246/FTTH-la-priorite-de-Free-est-le-deploiement-dans-les-immeubles-en-zone-dense-les-zones-rurales-viendront-plus-tard
- ↑ 33,0 33,1 Free : un réseau de près de Plantilla:Unité linéaires de fibre optique
- ↑ Page d'accueil de FreeIX
- ↑ Page d'accueil de PeeringDB
- ↑ Fermeture du FreeIX
- ↑ [2]
- ↑ Test des débits Degrouptest, avril 2010 Plantilla:Pdf
- ↑ Plantilla:16e baromètre de l’Internaute, juillet 2010
- ↑ Comparatif de la sécurité des FAI établi par Ghusse, janvier 2010
- ↑ Baromètre du Monde Informatique, juin 2009
- ↑ [3]
- ↑ Free théorise la France à deux vitesses
- ↑ Depuis le 4/11/2011 (auparavant c'était Plantilla:Unité).
- ↑ FAQ : FREEBOX - INTERNET
- ↑ Plantilla:Lien web
- ↑ Avis de création.
- ↑ Service d'hébergement de fichier de Free.
- ↑ Le filtrage P2P s’étend en zone non-dégroupée (IP/ADSL) ?
- ↑ Site d'assistance Free.
- ↑ Canal proxad.free sur le serveur NNTP news.free.fr, sous-canaux en fonction du domaine du problème à résoudre : RTC, ADSL, FTTH, services, messagerie, pagesperso.
- ↑ Compte @LaLigneDeFree.
- ↑ Page Facebook d'Angélique Berge.
- ↑ Interview d'Angélique Berge, directrice de la relation abonnés.
- ↑ L'assistance en ligne par tchat ou par email sont toujours proposées mais en fonction du type de demande comme l'explique : https://assistance.free.fr/contact/#freebox "nous vous redirigerons vers le moyen de contact auprès de nos services le plus adapté"
- ↑ Plantilla:Lien web
- ↑ 57,0 57,1 Plantilla:Lien Web.
- ↑ L'UFC-Que Choisir porte plainte contre Free - Le Nouvel Observateur, 7 décembre 2009.
- ↑ Free condamné à cesser des « pratiques commerciales illicites » - Les Échos, 23 mars 2011.
- ↑ Free : Vers la fin des frais abusifs - UFC-Que Choisir, 24 mars 2011.
- ↑ « Free condamné pour avoir volontairement bridé son débit », 01net, 8 février 2012.
- ↑ Plantilla:Fr Plantilla:Lien web.
- ↑ Plantilla:Fr Plantilla:Lien web.
- ↑ Plantilla:Fr Plantilla:Lien web.
- ↑ Indemnité forfaitaire Plantilla:Pdf.
- ↑ Freebox Free/Libre and Open Source Software.
- ↑ Commission fédérale de la communication ComCom; Faits et chiffres; Téléphonie mobile
- ↑ Plantilla:Lien web
- ↑ France Télécom devient maître à bord de sa filiale mobile suisse
- ↑ Orange Suisse cédé à Apax Partners
- ↑ Pour l’instant, Orange Suisse va rester Orange
- ↑ Xavier Niel rachète Orange Suisse pour 2,3 Mds€
- ↑ Plantilla:Lien web
- ↑ Plantilla:Lien web
- ↑ Nouvelles fréquences de téléphonie mobile pour Orange, Sunrise et Swisscom
- ↑ Código de Compensação, também chamado número do banco, estes e demais dados retirados da lista da FEBRABAN.
- ↑ http://prestamosybancos.com.ar/ranking-de-bancos-argentinos-depositos/
- ↑ Ránking de bancos argentinos en abril de 2011 (documento de Excel) en el sitio web de la ABA (Asociación de Bancos de la Argentina). Para ver una lista actualizada, consultar aquí.
- ↑ http://prestamosybancos.com.ar/ranking-de-bancos-argentinos-depositos/
Error en la cita: Existen etiquetas <ref>
para un grupo llamado «note», pero no se encontró la etiqueta <references group="note"/>
correspondiente.