Aller au contenu

Laurac-en-Vivarais

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Laurac-en-Vivarais
Laurac-en-Vivarais
Vue de l'église du village.
Blason de Laurac-en-Vivarais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes Val de Ligne
Maire
Mandat
Didier Nury
2020-2026
Code postal 07110
Code commune 07134
Démographie
Gentilé Lauracois[1]
Population
municipale
1 034 hab. (2021 en évolution de +4,66 % par rapport à 2015)
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 30′ 34″ nord, 4° 17′ 27″ est
Altitude Min. 149 m
Max. 373 m
Superficie 8,97 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Aubenas
(banlieue)
Aire d'attraction Aubenas
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vallon-Pont-d'Arc
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Laurac-en-Vivarais
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Laurac-en-Vivarais
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Voir sur la carte topographique de l'Ardèche
Laurac-en-Vivarais
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Laurac-en-Vivarais
Liens
Site web lauracenvivarais.fr

Laurac-en-Vivarais est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Situation et description

[modifier | modifier le code]

Laurac-en-Vivarais est une petite commune à l'aspect essentiellement rural du parc naturel régional des Monts d'Ardèche située à proximité de la ville de Largentière.

Manuscrit original représentant la région de Joyeuse XIXe siècle

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Rose des vents Sanilhac Montréal Rose des vents
N
O    Laurac-en-Vivarais    E
S
Rosières Labeaume

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Pont sur le ruisseau de Toufache.

Le système hydrographique de Laurac-en-Vivarais se compose de 11 ruisseaux :
  • le ruisseau de Blajoux, long de 11,1 km est un affluent de la rivière La Baume.
  • les ruisseaux de la Planche, long de 3,9 km, de la Martinette, long de 2,9 km et de Charbonnier, long de 1,2 km, sont des affluents du ruisseau de Blajoux.
  • les ruisseaux du Breuil, long de 2,1 km et du Bulien, long de 3,9 km, sont des affluents de la rivière la Ligne.
  • les ruisseaux de Chiralet, long de 1,5 km, de Franzonne, long de 2,2 km et des Charlots, long de 4,6 km, sont des affluents du ruisseau du Bulien.
  • les ruisseaux de Toufache, long de 3,1 km et des Farnayres, long de 1,9 km, sont des affluents du ruisseau des Charlots.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 024 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 4,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lablachère Drome », sur la commune de Lablachère à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 142,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par la D 104 (ancienne RN 104).

Au , Laurac-en-Vivarais est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aubenas, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aubenas, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (36,9 %), forêts (22,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), cultures permanentes (13,6 %), zones urbanisées (13,1 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]

En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 643.

Parmi ces logements, 70,5 % étaient des résidences principales, 19,9 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants[15].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Risques sismiques

[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Laurac-en-Vivarais est situé en zone de sismicité no 2 dite faible (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées sur le plateau et la montagne ardéchoise, mais à proximité de la zone de sismicité no 3, dite modérée, située plus à l'est et correspondant la vallée du Rhône[16].

Terminologie des zones sismiques[17]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 2 Sismicité faible accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Lauracois et les Lauracoises. Au début du XXe siècle, ils sont surnommés Mondjo-chabro (mange-chèvres)[18].

Pendant la Révolution française, la plaine de Laurac fut le théâtre de rassemblements républicains en réplique aux camps de Jalès.

En 1790, Montréal est détaché de Laurac qui appartenait à la même paroisse de Saint-Amans des Termes.

Le , Laurac devient Laurac-en-Vivarais.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Laurac-en-Vivarais

Les armes de Laurac-en-Vivarais se blasonnent ainsi :
Écartelé : au 1er d'azur aux lettres capitales L et V d'or rangées en bande, au 2e d'azur à l'amphore au naturel versée en barre, au 3e d'azur à la châtaigne dans sa bogue et feuillée au naturel, au 4e d'azur au chapeau de gendarme de sable posé en barre ; le tout enfermé dans une bordure d'or chargée de huit écussons d'azur.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

En les 15 conseillers municipaux sont désignés au premier tour[19].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juillet 1800 avril 1801 André Meynier    
avril 1801 janvier 1808 Louis Galfard    
janvier 1808 janvier 1826 Victor Ruelle    
janvier 1826 juillet 1830 Jean-Etienne Reynaud    
juillet 1830 avril 1831 Louis Meynier (Granger)    
avril 1831 décembre 1831 Louis Meynier (Figeou)    
décembre 1831 février 1837 Jean-Louis Perbost    
février 1837 décembre 1841 Joseph Galfard    
décembre 1841 janvier 1847 Jean-Etienne Babois    
janvier 1847 mars 1848 Joseph Roure    
mars 1848 juillet 1852 Jean-Louis Perbost    
juillet 1852 septembre 1870 Joseph Galfard    
septembre 1870 mai 1871 Jean Victor Edouard Reynouard    
mai 1871 octobre 1876 Jean-Etienne Reynaud    
octobre 1876 mai 1881 Pierre-Henri Galfard    
mai 1881 mai 1884 Jean-Louis Babois    
mai 1884 mai 1888 Jean-François Courbier    
mai 1888 mai 1896 Henri Reynaud    
mai 1896 mai 1900 Henri Brun    
mai 1900 mai 1904 Amand Prevot    
mai 1904 mai 1908 Hippolyte Prevot    
mai 1908 mai 1912 Alexis Besset    
mai 1912 février 1913 Benjamin Babois    
février 1913 août 1914 Jules André Victor Reynouard    
août 1914 1919 Victor Sevenier    
1919 décembre 1919 Jules André Victor Reynouard    
décembre 1919 mai 1929 Evariste Bartus    
mai 1929 mai 1945 Jules André Victor Reynouard    
mai 1945 octobre 1947 Aimé Brot PCF  
octobre 1947 mars 1971 André Chabanel RI puis UDF Instituteur
Conseiller général
Président du conseil général
mars 1971 juin 1995 Guy Chabanel DVD Propriétaire exploitant
juin 1995 mars 2008 Jean-Louis Champetier    
mars 2008 En cours
(au )
Didier Nury[21],[22]   Employé

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 1 034 habitants[Note 2], en évolution de +4,66 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9079631 1521 1411 4791 5271 6821 7051 770
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9161 5401 5351 5711 3771 0331 0511 0531 114
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1181 0371 011830784732717632639
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
660802763797789784850895885
2014 2019 2021 - - - - - -
9821 0191 034------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas et d'Aubenas.

La communauté catholique et l'église de Laurac (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse de Saint Joseph en Pays de Ligne, elle-même rattachée au diocèse de Viviers[27].

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 437 représentant 944 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 17 459 [15].

En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 161, occupant 358 actifs résidants (salariés et non-salariés) .

Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72,3 % contre un taux de chômage de 15,3 %[15].

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

En 2015, le nombre d’établissements actifs était de cent dix-neuf dont vingt dans l’agriculture-sylviculture-pêche, sept dans l'industrie, vingt dans la construction, soixante-trois dans le commerce-transports-services divers et neuf étaient relatifs au secteur administratif.

Cette même année, quinze entreprises ont été créées dont douze par des auto-entrepreneurs[15].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Statue du frère Serdieu.
  • L’église : elle est placée sous le vocable de Saint Amans, premier évêque de Rodez. Elle présente une abondante statuaire sulpicienne. Elle dépend de la paroisse Saint-Joseph en Ligne du diocèse de Viviers.
  • La statue du frère Serdieu : la statue de ce modeste religieux des écoles chrétiennes, fondateur de l'enseignement agricole de la région, fut inaugurée le . Cette cérémonie fut précédée d'un triduum solennel en l'honneur de saint Jean-Baptiste de La Salle[28].
  • Hameau de « Prends-Toi-Garde ».

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • L'écrivaine allemande Anne Chaplet (pseudonyme de Cora Stephan) habite Laurac pendant plusieurs mois par an. Elle partage sa vie entre ses domiciles à Ilsdorf/Solms (Allemagne) et Laurac.

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Laurac-en-Vivarais possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Docteur Francus (Albin Mazon), Voyage au pays Helvien, Privas, Imprimerie Typographique du Patriote, (lire en ligne)

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Nom des habitants de Laurac-en-Vivarais sur habitants.fr (consulté le 23 février 2023).
  2. « Plan séisme consulté le 5 septembre 2016 ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Laurac-en-Vivarais et Lablachère », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lablachère Drome », sur la commune de Lablachère - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lablachère Drome », sur la commune de Lablachère - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Aubenas », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Aubenas », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. a b c et d Statistiques officielles de l’INSEE (version novembre 2016).
  16. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  17. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  18. Voyage au pays Helvien / par le Dr Francus Mazon, Albin (1828-1908), page 107 et 108
  19. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Les différents maires et conseillers municipaux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lauracenvivarais.fr (consulté le 1er septembre 2014).
  21. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  22. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. page de présentation de la paroisse Saint Joseph en Pays de Ligne
  28. Gallica : La Semaine religieuse du Diocèse de Rouen , page 358