Jean Groffier
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Jean Groffier[1] est un poète, romancier et dramaturge belge orientalisant, né à Liège le et mort le [2] à Castellet (Vaucluse), où il s’était établi.
Famille
[modifier | modifier le code]Jean Groffier, est le fils de Charles Groffier[3], docteur en sciences[4], « chimiste à l'État » (assistant au laboratoire d'analyses de l'État à Gembloux), puis « directeur de la station de chimie de Gembloux », né à Vosne-romanée, département de la Côte-d'Or, France, et de son épouse Jeanne Marie Françoise Danhieux, née à Schaerbeek, domiciliés lors de sa naissance, rue de la Liberté, 13, à Liège[5]. Ses parents s'étaient mariés à Schaerbeek[6] en 1907. Ils y[7] divorcèrent en 1923 alors que Jean était adolescent [8].
Il est le frère du peintre luministe Didier Groffier.
Biographie
[modifier | modifier le code]À l’époque de ses premières créations littéraires, il habitait la commune bruxelloise de Schaerbeek, avec sa mère née Jeanne Danhieux, dans une pittoresque maison au style éclectique[9] du 11, rue Fontaine d'Amour qui fut dans l'entre-deux-guerres un lieu « tout bruissant de romanciers, poètes, dessinateurs, belges et étrangers. Ils étaient enthousiastes, idéalistes, anti bourgeois et avaient promis, dans le manifeste de la revue Tribune, de "rester purs" »[10].
Après la Deuxième Guerre mondiale, il s'occupa de tourisme culturel et participa à la création de la Fédération internationale des journalistes et écrivains du tourisme (FIJET) en 1954. L'année suivante, il fut engagé par l'UNESCO où il fut chargé de la diffusion du Courrier de l'UNESCO.
Œuvre
[modifier | modifier le code]Passionné par la civilisation orientale et sémitique il montrait le même enthousiasme pour le jeune mouvement sioniste que pour la civilisation arabo-musulmane qui pour lui n’étaient en rien contradictoires mais au contraire étaient unis par une origine commune.
C’est ainsi que sortirent de sa plume deux essais intitulés Pour une Palestine juive et indépendante et À la recherche d’une psychologie musulmane.
Ce thème orientalisant fut le sujet principal de certaines de ses poésies, mais surtout de ses romans et de son théâtre.
En 1928 toutefois, il publia un recueil de vers et de prose, Premiers parfums, d’inspiration romantique dans lequel, à part Parfums d’Orient, l’orientalisme n’apparaît pas encore, tout comme dans Les Chansons d’Ethel (1936) recueil de poèmes en prose.
En 1929, son livre Aquarelles orientales, contenant deux comédies (La Fille du Pacha et Le Médecin du désert) est désormais totalement consacrée au monde arabo-musulman. L’auteur, pour donner une touche locale, nous indique que les deux héroïnes Nifritima et Babarim jouent « le visage voilé ».
Il fut également fort marqué par l’œuvre de Nicolas-Remi Brück (1818-1870) et de Charles Henri Lagrange (1851-1932) concernant l'influence du magnétisme terrestre, les lois mathématiques de la Bible et celles de la grande pyramide de Chéops, dans laquelle on peut lire le destin de l’humanité…
Il développe ce thème dans Les heures d’angoisse (1931), livre de confessions qui déplurent à ce point à sa famille qu’elle en fit détruire la plupart des exemplaires.
L’œuvre de Lagrange lui inspira également en 1937 son opuscule contre Hitler : Les Germains sont des Israélites, sous-titrée Réponse scientifique à l’hypothèse aryenne de Monsieur Adolphe Hitler.
Le thème oriental est traité avec brio dans son roman Elle, venue d’Orient, précédé d’une appréciation de Camille Poupeye ainsi que dans Islam, terre de feu (Paris, 1953) et Orage sur Tunis. Ces romans témoignent « d’une remarquable lucidité sur le processus de décolonisation qui s’amorce alors [11]».
Les revues La Momie Chante et Tribune
[modifier | modifier le code]Jean Groffier fut également en 1933 le fondateur de la revue littéraire belge La momie chante qui devint[12] Tribune 34, à partir du numéro 8 du 15 janvier/15 février 1934, puis Tribune[13] après 1934, et était l'animateur de tout un cercle littéraire et artistique qui gravitait autour d'elles[14]. On y rencontrait Lismonde, auquel Jean Groffier avait consacré un article élogieux et prometteur dans le Tribune[15] de septembre 1934, la romancière Marie de Vivier, autrice de L'Homme pointu (allusion à André Baillon), la poétesse, graveuse et tisserande Féridah Guarini[16], le sculpteur Carlo Lambert, le peintre et compositeur Jean De Bremaeker[17], l'architecte Léon Van Dievoet[18], son frère le sculpteur René van Dievoet, l'avocat Raoul Vandendriessche, promoteur de la paix par le droit, le compositeur Gaston Knosp, l'avocat Jean Mallinger qui y publia une série d'articles sur le « Culte du Soleil en Orient[19] », Iwan Paul Collette, auteur d'articles sur l'héraldique[20], le poète Pierre Vandendries, les peintres Didier Groffier, Marcel Hastir[21] et Raoul Labarre, le romancier René Charles Oppitz[22] dit J. J. Marine et d'autres hommes de lettres et artistes de l'entre-deux-guerres.
Les autres revues
[modifier | modifier le code]En 1965, Jean Groffier devient rédacteur en chef de la revue bilingue de poésie Message, fondée par Puzant Topalian qui en assume la direction[23],[24]. Il fut également rédacteur de la revue Soleil d’Oc [25]et contribua à diverses autres revues telles que Soleils[26],[27](qui succéda à Soleil d’Oc) et Rythmes et couleurs, » [28]
Vie familiale
[modifier | modifier le code]Malgré le fait que dans Les heures d’angoisse, à la dernière page, il ait donné cette appréciation du mariage « Pour ce qui est du mariage, je l’ai déconseillé comme étant le résultat d’une attraction matérielle », ses amis reçurent un jour la petite carte suivante : « Monsieur Jean Groffier et Mademoiselle Madeleine Angenot ont l’honneur de vous annoncer que leur mariage a eu lieu le , Bruxelles »[29].
Ils eurent une fille, Éthel Groffier, née à Etterbeek le 13 janvier 1935, qui s’établit au Canada où elle devient professeure à l'Université McGill de Montréal, auteure de plusieurs ouvrages de droit et de lexicographie, et épouse du philosophe canadien Raymond Klibansky.
Jean Groffier et Madeleine Angenot se séparèrent au début des années 1950. Ils ne divorcèrent jamais. Jean Groffier vécut avec l’aquarelliste Edmée Radar (Etterbeek 1921 - Apt 1990) qui fut sa compagne pendant quelque trente-cinq ans. Il l’épousa en 1983, après le décès de sa première épouse[30].
Publications
[modifier | modifier le code]- 1928 : Premiers parfums. Vers et prose, Bruxelles, 1928.
- 1929 : Aquarelles Orientales (Deux farces - Poèmes), Bruxelles, 1929.
- 1931 : Les Heures d'angoisse, Bruxelles, s. d.
- 1934 : À la recherche d'un bonheur, Bruxelles, Éditions Tribune, 1934. (essais)
- 1934 : « Le paysagiste Lismonde », dans : Tribune, n° 15, Bruxelles, .
- 1935 : Aux préorganisteurs (Manifeste), Bruxelles, Éditions Tribune, 1935.
- 1936 : "Musulmane" (roman), dans : Tribune, 31, Bruxelles, numéro d'Été, 1936, p. 5-11.
- 1936 : Les Chansons d'Ethel (poèmes en prose), illustrations de Henri Mathy, Bruxelles
- 1937 : Les Germains sont des Israélites (Réponse scientifique à l'hypothèse aryenne de Monsieur Adolphe Hitler) Manifeste, Bruxelles, Éditions Tribune, 1937.
- 1939 : Moments de vie (poésies)
- 1939 : L'Angleterre et l'Allemagne dans l'Europe de demain
- 1942 : Elle, venue d'Orient, roman, précédé d'une appréciation de Camille Poupeye, Bruxelles, Éditions Jules Wellens, s. d.
- Venenosa, roman, Bruxelles, Éditions Jules Wellens, s. d.
- 1944 : Pourquoi j'ai épousé un Chinois (roman)
- 1944 : Dunkerque 1940, (poésies), préface de Maurice Fombeure.
- 1946 : L'appel du silence (roman)
- 1946 : La leçon de cynisme
- 1946 : Le secret du pouvoir d'Hitler.
- 1947 : L'hégémonie mondiale des Anglo-Saxons en 1950
- 1948 : Pour une Palestine juive et indépendante.
- 1949 : Le Chrétien en face du message de Krishnamurti.
- 1950 : Le manifeste de la Vérité.
- 1951: Le Jeu du Diable , Bruxelles : La Renaissance du Livre, 1951
- 1951 : Orage sur Tunis (roman).
- 1953 : Islam, terre de feu roman, Paris, René Debresse, s. d. (1953)
- Au-delà de la porte (poésies), préface de J.-H. Rosny aîné.
- 1955 : France éternelle en ses visages (poésies)
- 1956 : La vie s'achève à vingt ans ( roman)
- 1959 : Derrière le mur (roman)
- 1962 : Contes et nouvelles de Provence
- 1962 : « Puzant Topalian, une personnalité arménienne », Mercure (Bruxelles), 11 août 1962.
- 1965 : « Puzant Topalian : une voix de l'Arménie, Le Jour du Monde », Synthèses (Bruxelles), avril-mai 1965, nos 227/228, p. 489-492.
- 1965 : Onze poèmes dans un cercle d'amour.
- '1966 : 'L’Épopée de Puzant Topalian : peinture et œuvres graphiques / textes de Vahé Godel, Jean Groffier, Roger Ville… et al., Paris, Impr. Araxes, 1966.
- 1967 : « Le peintre de l'Arménie secrète : Puzant Topalian », Les Cahiers de Carrefour de Provence, no 6, Printemps 1967.
- 1969 : Nos routes sans fin (poésies)
- 1970 : Hitler dans le cabinet de réflexion
- 1973 : Ce qu'il faut savoir des étains
- 1973 : Palestine à livre ouvert
- 1976 : Chéops, pharaon du début et de la fin des temps
- 1977 : Robert Louis Stevenson : la dualité incarnée
- 1981 : Le feu ardent des Vaudois
- 1981 : Le monde des extra-terrestres dans la Bible
- 1985 : Mesures et nombres sacrés
- 1986 : Dans la Cévenne et ses contreforts
- 2023 : Mes Ardennes perdues, publié par sa fille Ethel Groffier, Librinova, 2023, ISBN numérique 979-10-405-3687-1
- Le livre d'Esaïe.
- A la recherche d'une psychologie musulmane
- Hibrahim pacha (conte).
- Esmat la Mongoloïde (conte).
- Divertissement (conte).
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Serge Goyens de Heusch, Léon van Dievoet, architecte. La Maison Lismonde et autres paysages, Linkebeek, 2023 (concernant Jean Groffier et la revue Tribune voir pp. 9 et 10 et p. 9, photo de Jean Groffier).
- Éthel Groffier, "Un pèlerin en quête d'absolu : Jean Groffier (1906-1989)", postface à Mes Ardennes perdues, publié par sa fille Ethel Groffier, Librinova, 2023, p. 119 à 171. ISBN numérique 979-10-405-3687-1
Notes
[modifier | modifier le code]- De ses prénoms complets Jean Charles Eugène Groffier.
- BnF
- De ses prénoms complets : Joseph Eugène Charles Groffier, né le 28 juin 1876 à Vosne-romanée, Côte-d'Or, France, fils de François Joseph Eugène Groffier, négociant en vins, né à Vosne-romanée (Bourgogne) le 20 avril 1852, et de Louise, Marie, Joséphine, Anna Dartois née en 1851, conjoints mariés le 4 septembre 1875 à Fléron, Province de Liège, Belgique, fille de Servais Léonard Dartois, industriel, exploitant de houillères, né le 17 février 1816 à Liège, mort le 28 septembre 1907 à Fléron et de Angéline Joséphine Deveux, née le 20 mars 1815 à Liège, morte à Fléron le 23 février 1889.
- Bulletin de l'Association belge des chimistes, volume XVI, n° 2, février 1902 : « COMITÉ CENTRAL. Extraits du procès-verbal de la séance du 5 février 1902....Ont été admis membres effectifs de l'Association :..... — Pour la Section de Gembloux,......Groffier, Charles, docteur en sciences, assistant au laboratoire d'analyses de l'Êtat, à Gembloux »
- Liège, État civil, acte de naissance 1554 du 12 juillet 1908.
- Schaerbeek, acte de mariage n° 278 du 14 mai 1907.
- Divorce acté à Schaerbeek le 23 novembre 1923.
- Jean Groffier, Les Heures d'angoisse, Bruxelles, Imprimerie Verhavert , 1931 : "Mon père était un homme de science doublé d'un bibliophile remarquable, mais de caractère faible et grand amateur de plaisirs, aussi abandonna-t-il son foyer de bonne heure pour suivre une vulgaire maîtresse expérimentée dans l'art de la noce. Notre éducation s'en ressentit : elle eut l'expérience de la douleur et se fit grâce aux soins maternels".
- Il s'agit d'une œuvre architecturale de l'architecte René Bartholeyns datant de 1914. Inventaire du patrimoine bruxellois.
- Éthel Groffier : « On est de son enfance comme on est d’un pays, disait Antoine de Saint-Exupéry. Mon père, l’écrivain Jean Groffier, dirigeait à Bruxelles une jeune revue littéraire, Tribune, courtisée par Marinetti désireux de revigorer un futurisme en perte de vitesse. La maison où j’ai grandi bruissait d’amis romanciers, poètes, dessinateurs, belges et étrangers. Ils étaient enthousiastes, idéalistes, anti bourgeois et avaient promis, dans le manifeste de la revue, de "rester purs" ». Lire en ligne.
- Robert Frick et Raymond Trousson,, Lettres françaises de Belgique. Dictionnaire des œuvres. I. Le Roman, sous la direction de Vic Nachtergaele et Raymond trousson,, Paris-Gembloux,, Duculot,, 1988., p. 182 et p. 381.
- Paul Aron et Pierre-Yves Soucy, Les Revues littéraires belges de langue française de 1830 à nos jours, Bruxelles, 1998 (édition revue, corrigée et augmentée), p. 150 : "684. La Momie chante. R. Jean Groffier. Devient Tribune 34 à partir du numéro 8, 15 janvier/15 février 1934", et p. 188 : "1020. TRIBUNE 1934. Organe de la Tribune 34 et de la ligue asiatique. R : Jean Groffier. Suite de La Momie chante (1933); Devient Tribune après 1934".
- D'après un fascicule publicitaire : "La revue 'TRIBUNE', a été créée par Jean Groffier, en 1933. Elle a posé des problèmes émouvants auxquels ont répondu les autorités les plus diverses. Elle s'est efforcée de vous présenter les mouvements intellectuels les plus importants"
- La fille de Jean Groffier, Éthel Groffier, née en 1935, professeure à l'Université McGill de Montréal, épouse du philosophe canadien Raymond Klibansky écrit : « Mon père, l’écrivain Jean Groffier, dirigeait à Bruxelles une jeune revue littéraire, Tribune, courtisée par Marinetti désireux de revigorer un futurisme en perte de vitesse. La maison où j’ai grandi bruissait d’amis romanciers, poètes, dessinateurs, belges et étrangers. Ils étaient enthousiastes, idéalistes, anti bourgeois et avaient promis, dans le manifeste de la revue, de « rester purs ». Ma première poupée me fut donnée par un poète italien injustement oublié, Lionello Fiumi. Les revues littéraires sont des êtres fragiles. Celle de mon père dura sept ans, puis fut emportée par les bouleversements de l’époque ».
- Jean Groffier, « Le paysagiste Lismonde », dans Tribune 1934, n° 15, Bruxelles, .
- Article sur Féridah Guarini par Jean Groffier, « Annotations », dans : La momie chante, n° 5, octobre 1933, p. 2.
- Jean Groffier lui consacra un article dans Tribune, n° 26, janvier-février 1936 : « Il y a cinq ans d'ici, Jean de Bremaeker expérimentait divers engins et méthodes de navigation dans les bassins d'Ostende. C'est en cette ville et à cette époque que je fis sa connaissance. Ses allures étranges m'avaient intéressé, je m'étais présenté à lui et le lendemain soir, à 21 heures, au bout de l'estacade, nos pensées, nos connaissances établirent des points de contact. Nous parlâmes longtemps au son de la mer alors que, derrière nous, la bêtise humaine, sous ses aspects les plus divers, se promenait le long de la digue ».
- Jean Groffier, « Un interview. L'Architecte Léon van Dievoet », dans : La momie chante, Bruxelles, juillet 1933, p. 2.
- Jean Mallinger, « Le Culte du Soleil en Orient », dans : La momie chante, à partir du n° 5, octobre 1933, p. 2.
- La momie chante, n° 6, novembre 1933, et aliis locis.
- Marcel Hastir a collaboré à la revue Tribune, dans le numéro 10, 15 mars - 15 avril 1934, p. 1 il a écrit « Une source de beauté ».
- L'architecte Philippe Dumont évoque son souvenir dans son livre La Panne. Chronique d'un temps perdu, Bruxelles : Louis Musin éditeur, 1981, p. 17 : « C'était ma jolie cousine Colette et son fiancé René Oppitz formant une image de grâce et d'amour, un couple de cygnes glissant sur les sables ».
- Message : trimestriel bilingue de poésie, bilingual poetry quarterly, Paris, Impr. Araxes, 1965-1968?
- Ray Nikels, "A l'écoute du silence... Message 65", Mercure (Bruxelles), 11 septembre 1965.
- 1960-1962
- 1962-1963
- Marcel Lobet, « « Aux écoutes des lettres belges : Jean Groffier a fait un pacte avec le soleil », Le Soir. La vie littéraire, 3 janvier 1963.
- Créée en 1956, organe du Carrefour de Provence, Centre littéraire et artistique, Roussillon, Vaucluse.
- Faire-part imprimé, dont un exemplaire repose aux Archives et Musée de la littérature.
- Voir le lien.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Éthel Groffier
- Famille Groffier
- Raymond Klibansky
- Didier Groffier
- Carlo Lambert
- Jean De Bremaeker
- Léon Van Dievoet
- Archives et Musée de la littérature
- Puzant Topalian
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Anthologie des jeunes écrivains belges, préface de Hubert Krains de l’Académie royale, Louvain, Éditions des Jeunes Auteurs, 1931.
- J.-P. Bonnami, « Jean Groffier : Tribune et leur activité », supplément au no 51 de l’hebdomadaire Chanteclair du .
- Jean De Bremaeker, Jean Groffier, dans : Tribune, no 30, Bruxelles, mai-, p. 1-2.
Liens externes
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