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Limoges-Fourches

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Limoges-Fourches
Limoges-Fourches
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté d'agglomération Melun Val de Seine
Maire
Mandat
Philippe Charpentier
2020-2026
Code postal 77550
Code commune 77252
Démographie
Gentilé Limofurcaciens
Population
municipale
573 hab. (2021 en évolution de +25,66 % par rapport à 2015)
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 37″ nord, 2° 39′ 56″ est
Altitude Min. 86 m
Max. 97 m
Superficie 7,96 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Limoges-Fourches
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Limoges-Fourches
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Limoges-Fourches
Liens
Site web http://www.limogesfourches.fr/

Limoges-Fourches (prononcé [li.mɔʒ fuʁʃ ]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

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Localisation

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La commune est située à environ 12,4 kilomètres au nord de Melun[Carte 1]. Elle est proche de l'aérodrome de Melun-Villaroche.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Limoges-Fourches.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

  • le ruisseau des Hauldres, 17,14 km[1], affluent de la Seine ;
    • le cours d'Eau 01 de Saint-Julien, 1,00 km[2], et.
    • le fossé 01 des Pièces de Galande, 2,41 km[3], affluents du ruisseau des Hauldres ;
  • le fossé 01 de Mardilly, 2,21 km[4], affluent de l’Yerres ;
  • le fossé 01 du Bois de Cramayel, canal de 1,79 km[5].

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,87 km[6].

Gestion des cours d'eau

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Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[9].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montereau-sur-le-Jard à 4 km à vol d'oiseau[12], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 657,9 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Statistiques 1991-2020 et records MELUN (77) - alt : 91m, lat : 48°36'37"N, lon : 2°40'46"E
Records établis sur la période du 01-02-1947 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,4 3,4 5,4 9 12,1 13,9 13,7 10,7 8,1 4,5 2,2 7,2
Température moyenne (°C) 4,2 4,9 7,9 10,8 14,3 17,5 19,8 19,6 16 12,2 7,6 4,7 11,6
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,3 12,5 16,2 19,7 23 25,6 25,5 21,4 16,3 10,6 7,3 16,1
Record de froid (°C)
date du record
−19,8
17.01.1985
−19,7
14.02.1956
−10,3
12.03.1958
−4,6
12.04.1986
−2,1
07.05.1957
1,6
04.06.1975
4
08.07.1954
3,5
31.08.1986
0,4
24.09.1947
−4,8
29.10.1985
−9,3
24.11.1998
−14,8
29.12.1964
−19,8
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,9
05.01.1999
21,2
24.02.21
25,6
25.03.1955
29,5
30.04.1994
31,6
28.05.17
36,8
27.06.11
41,9
25.07.19
38,9
12.08.03
34,4
15.09.20
29,4
01.10.1985
22,1
07.11.15
17,6
07.12.00
41,9
2019
Ensoleillement (h) 595 829 1 429 1 882 2 163 2 261 2 347 2 253 1 804 1 185 684 544 17 975
Précipitations (mm) 50,9 46 46,6 48,8 61,9 58,1 59,4 54,2 54 58,5 56,3 63,2 657,9
Source : « Fiche 77306001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Au , Limoges-Fourches est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[20]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

Lieux-dits et écarts

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La commune compte 38 lieux-dits administratifs[Note 2] répertoriés consultables ici[23].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,9% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,5% ), zones urbanisées (5,8% ), forêts (3,7 %)[24].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification

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La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine[27].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[28]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 168 dont 94,3 % de maisons et 5,7 % d'appartements[Note 3].

Parmi ces logements, 95,8 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 3,7 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 81,4 % contre 15 % de locataires et 3,6 % logés gratuitement[29].

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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La commune est desservie par la ligne d'autocars du réseau de bus du Pays Briard No 30A (Tournan-en-Brie – Melun).

Limoges: Le nom est mentionné sous les formes « Villa que vulgo vocatur Lemovecas cum ecclesia et omnibus appendiciis » vers 1014[30] ; In villa Limodio au XIe siècle[31] ; Villa de Limogiis en 1138[32] ; Limogae en 1194[33] ; Parrochia de Limogiis en 1225[34] ; Ecclesia de Limogies au XIIIe siècle[35] ; Lymoges en Brye en 1484[36] ; Limoges en Brie en 1667[37].
Du latin limo.

Fourches: Le nom est mentionné sous les formes Villa que dicitur Furcas in comitatu Parisiensi, 1015[38] ; Villa de Furcis, 1138[32] ; Apud Furcas in parrochia de Limogiis en 1224[39] ; Furcae au XIII[40] ; Fourches près Limoges en 1385[41].
De furcas (fourche, bifurcation).

Limoges-Fourches : « bourg avec des ormes et des bifurcations ».

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 en cours Philippe Charpentier    
Les données manquantes sont à compléter.

Équipements et services

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Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [42],[43].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la commune de Limoges-Fourches ne dispose pas d'assainissement collectif[44],[45].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[46]. La communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[44],[47].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[44],[48],[49].

Population et société

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].

En 2021, la commune comptait 573 habitants[Note 4], en évolution de +25,66 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
185198209191157176178191204
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
180186179174195203179196182
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
197168155152224234215144203
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
206224214230230297421457454
2018 2021 - - - - - - -
508573-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Beaucoup d'entreprises ont fermé depuis les années 1970. Il ne reste plus aujourd'hui qu'une seule grosse exploitation agricole. En plus de sa mairie et de son église, Limoges-Fourches dispose d'une école.

Secteurs d'activité

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Agriculture

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Limoges-Fourches est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 5] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[54].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[55]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 111 ha en 1988 à 247 ha en 2010[54]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Limoges-Fourches, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Limoges-Fourches entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[54],[Note 6]
Nombre d’exploitations (u) 9 8 5
Travail (UTA) 46 28 14
Surface agricole utilisée (ha) 998 918 1 237
Cultures[56]
Terres labourables (ha) 934 872 1 183
Céréales (ha) 577 531 s
dont blé tendre (ha) 434 409 485
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 123 97 145
Tournesol (ha) 0
Colza et navette (ha) s s 86
Élevage[54]
Cheptel (UGBTA[Note 7]) 100 9 10

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Médard.

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Médard.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne, t. 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Limoges-Fourches », p. 114–115

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  3. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  6. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  7. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Localisation de Lissy » sur Géoportail (consulté le 24 juin 2018)..
  2. « Limoges-Fourches - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Hauldres (F4603000) ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'Eau 01 de Saint-Julien (F4603040) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Pièces de Galande (F4603100) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Mardilly (F4818000) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois de Cramayel (F4603120) ».
  6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 29 mars 2019
  7. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  8. « SAGE Yerres - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Limoges-Fourches et Montereau-sur-le-Jard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Melun » (commune de Montereau-sur-le-Jard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Melun » (commune de Montereau-sur-le-Jard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Limoges-Fourches », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Limoges-Fourches », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Limoges-Fourches », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Limoges-Fourches ».
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
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  26. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  27. « Le SCOT Région melunaise »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur seine-port.f (consulté le ).
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  29. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 30 juin 2020
  30. Archives nationales, K 18, n° 7.
  31. Cartulaire de Saint-Maur.
  32. a et b Archives nationales, L 870.
  33. Archives nationales, S 2174a, fol. 13 v°.
  34. Cartulaire de N.-D. Paris, II, 263.
  35. Cartulaire de N.-D. Paris, I, 18.
  36. Archives nationales, L 877, n° 67.
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