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Montautour

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Montautour
Montautour
L'église paroissiale Notre-Dame-du-Roc.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Thierry Mongodin
2020-2026
Code postal 35210
Code commune 35185
Démographie
Gentilé Montaltorien
Population
municipale
268 hab. (2021 en évolution de +2,68 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 12′ 14″ nord, 1° 08′ 49″ ouest
Altitude Min. 105 m
Max. 194 m
Superficie 6,90 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Vitré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vitré
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Montautour
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Montautour

Montautour est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, peuplée de 268 habitants[Note 1].

Géographie

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La commune est desservie par la ligne de bus n°4 de Vitré Communauté.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 896 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Launay-Villiers à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Montautour est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,9 %), terres arables (24 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme Mont Altor en 1049[13] et de Mont-Auter ou Ecclesia Sanctæ Mariæ de Mont-Auter au XIIe siècle.

Montautour est un toponyme médiéval en Mont-, appellatif toponymique issu du gallo-roman MONTE « colline, élévation », lui-même du latin montem, accusatif de mons « mont, montagne ». En effet, Montautour est situé sur une butte, sur laquelle, dès le XIe siècle au moins se trouvait un sanctuaire déjà vénéré de Notre-Dame-du-Roc[14].

Le second élément -autour, représente probablement l'autour, du nom du rapace[15]. C'est une formation toponymique comparable aux nombreux Montfaucon. Dans l'hypothèse alternative qui consiste à voir dans -autour, soit le réemploi d'un toponyme précédent, soit un autre appellatif, la terminaison -our est l'équivalent dans l'ouest de la terminaison -eur en français.

La traduction du nom en breton est Menezaoter[16], qui signifie « mont de l'autel ».

L'église de Sainte-Marie de Montautour fut donnée en 1066 à l'abbaye Saint-Sauveur de Redon avec l'agrément de Main, évêque de Rennes[17]. Mais l'abbé bénédictin de cette abbaye unit par la suite le prieuré de Montautour à celui de Châteaubourg et laissa au prieur de ces deux bénéfices le droit de présenter à l'évêque le recteur de Montautour[14].

Époque moderne

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Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Montautour en 1778 :

« Montautour, sur une hauteur, à neuf lieues à l'est-nord-est de Rennes, son évêché et son ressort et à deux lieues de Vitré, sa subdélégation. On y compte 450 communiants[18]. C'est le prieur régulier de Châteaubourg qui présente la cure. La juridiction de l'endroit est une moyenne justice. (...) Ce territoire forme une plaine, où l'on voit au nord une lande qui a plus de deux mille toises en tous sens ; de sorte que seule la partie du sud est habitée et cultivée[17]. »

Au XVIIIe siècle, le prieur de Châteaubourg, grand décimateur de Montautour, ne laissait au recteur de Montautour qu'une portion congrue de 700 livres par an[14].

Révolution française

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Le , à Montautour, on assassina un huissier réputé patriote, et l'homme n'était pas encore mort que les exécuteurs (des chouans) le recouvrirent de broussailles qu'ils enflammèrent aussitôt. Le , des administrateurs du district de Fougères écrivent : « Les cultivateurs sont dans un état d'inquiétude et d'alarme. Les brigands sont à Balazé, 15 brigands de la Petite Vendée à la tête desquels sont les Chouans frères. Il semble que ces hommes sont les mêmes que ceux qui firent une incursion à la mi-août dernier sur Montautour, Châtillon, Parcé ». Dans la seconde quinzaine de , des rassemblements suspects sont signalés à Argentré, Balazé, Champeaux, Châtillon, Cornillé, Étrelles, Montautour, Le Pertre, Taillis et Vergéal. Dans un rapport daté du , les autorités d'Ernée écrivent que des paysans d'Argentré, Le Pertre, Mondevert, Erbrée, La Chapelle-Erbrée, Bréal, Saint-M'Hervé, Montautour et Balazé avaient « porté leurs grain aux insurgés pendant leur séjour à Laval »[19].

Montautour fait partie des communes déclarées totalement insurgées en 1793-1794[20]. Une compagnie chouanne exista à Princé et Montautour ; elle était membre de la « colonne d'Izé », dirigée par Henri du Boishamon, qui elle-même dépendait de la division de Vitré de l'Armée catholique et royale de Rennes et de Fougères. La « colonne d'Izé » était divisée en plusieurs compagnies : la compagnie de Champeaux et Taillis (dont les capitaines étaient Picot l'Aîné et Julien Picot), la compagnie de Balazé, la compagnie de Montreuil-sous-Pérouse et Saint-Christophe-des-Bois, la compagnie d'Izé, la compagnie de Saint-Jean-sur-Vilaine, la compagnie de Champeaux et Taillis.

XIXe siècle

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En 1803, la paroisse de Montautour fut supprimée, réunie à celle de Princé, mais elle fut rétablie par ordonnance royale le .

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Montautour en 1845 :

« Montautour (sous l'invocation de la Vierge ; à la Visitation) : commune formée de l'ancienne paroisse du même nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : la Gougeonnière, le Haut et le Bas-Tertre, l'Épine, la Pihourdière. Superficie totale 689 hectares dont (...) terres labourables 401 ha, prés et pâtures 79 ha, bois 30 ha, vergers et jardins 7 ha, landes et incultes 141 ha (...). Moulin de la Foucherais, à eau. (...) Géologie : quartzite, schistes à 100 mètres au sud du bourg. On parle le français [en fait le gallo][21]. »

En 1856, la commune de Montautour demanda l'annexion à son territoire de plusieurs villages et hameaux dépendant des communes de Balazé, Châtillon-en-Vendelais et Saint-M'Hervé « afin de se créer des ressources pour ses services publics, et de procurer aux habitants de ces villages, éloignés [du bourg] de leurs communes respectives, plus de facilité pour l'accomplissement de leurs devoirs civils et religieux ». Les conseils municipaux de ces trois communes émirent un avis défavorable ainsi que le conseil général d'Ille-et-Vilaine[22].

XXe siècle

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Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Montautour porte les noms de soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, six au moins (Jean Bilheude, Louis Bourgault, Jules Buffet, Jean Genouël, Joseph Lebreton, Joseph Olivier) sont morts en Belgique en 1914 ou 1915 ; un (Charles Planchet) est mort alors qu'il était prisonnier en Allemagne ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français (parmi eux Louis Dibon, qui fut décoré de la Croix de guerre)[23].

Entre-deux-guerres

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La commune commence à être électrifiée en 1932[24].

Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Montautour porte les noms de deux personnes (E. Akesson et J. Martin) mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[23].

Un aviateur américain, le lieutenant Robert Smith, est tombé le au lieu-dit la Réhorie. Une stèle a été érigée en son honneur[25].

Après Seconde Guerre mondiale

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Emmanuel Halleux[26] est décédé le à Paris de faits liés à la Guerre d'Algérie[23].

Politique et administration

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995[27] mars 2014 Paul Garrault   Retraité
avril 2014 juillet 2020 Sébastien Fortin[28] SE Menuisier
juillet 2020 En cours Thierry Mongodin[29]   Responsable nettoyage
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 268 habitants[Note 3], en évolution de +2,68 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
380328373411415414402425424
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
412408423354365401371391362
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
354338313299319304308280274
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
288255226240242240252255249
2015 2020 2021 - - - - - -
261267268------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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  • Église Notre-Dame-du-Roc, de style néo-roman, édifiée par l'architecte Albert Béziers-Lafosse : tour (1858), corps de l'édifice (1867-1872).
  • Manoir de la Rivière Rabault, XVe siècle.

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Montautour et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Launay-Villiers » (commune de Launay-Villiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Launay-Villiers » (commune de Launay-Villiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Montautour ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vitré », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Site de KEROFIS Office public de la langue bretonne : Montautour (lire en ligne) [1]
  14. a b et c Amédée Guillotin de Corson, "Pouillé historique de l'archevêché de Rennes", volume 5, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75001z/f263.image.r=Montautour?rk=42918;4
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 467b.
  16. ibidem
  17. a et b Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist02og
  18. Personnes en âge de communier
  19. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
  20. Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
  21. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 185, consultable https://books.google.fr/books?id=9o8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiC_6yOk_3RAhUGxxQKHZiOCfIQ6AEIHDAA#v=onepage&q=Montautour&f=false
  22. Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine, 1856, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5562911c/f316.image.r=Balaz%C3%A9
  23. a b et c ACAM-MEMORIAL, « Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  24. Journal Ouest-Éclair no 13083 du , consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659023q/f6.image.r=marpir%C3%A9?rk=4678134;4
  25. « Lt. Robert Smith - Montautour - Aérostèles », sur aerosteles.net (consulté le ).
  26. Emmanuel Halleux, né le .
  27. « Les derniers vœux de Paul Garrault, après 49 ans au conseil », La Chronique Républicaine,‎ (lire en ligne).
  28. « Municipales à Montautour. Sébastion Fortin est le nouveau maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. « Montautour. Le fauteuil de maire pour Thierry Mongodin », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Liens externes

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