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Puget

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Puget sur Durance
Puget
Blason de Puget sur Durance
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Apt
Intercommunalité Communauté d'agglomération Luberon Monts de Vaucluse
Maire
Mandat
Amélie Jean
2020-2026
Code postal 84360
Code commune 84093
Démographie
Gentilé Pugétains
Population
municipale
864 hab. (2021 en évolution de +17,55 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 21″ nord, 5° 16′ 11″ est
Altitude 150 m
Min. 123 m
Max. 703 m
Superficie 17,9 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Cadenet
(banlieue)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cheval-Blanc
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Puget sur Durance
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Puget est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

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La commune de Puget est une commune au sud du massif du Luberon.

L'accès principal au bourg depuis la route départementale 973.

La route départementale 973 passe sur la commune au niveau de la plaine, au sud du bourg et selon un axe est-ouest. La route départementale D 173 passe quant à elle sur la commune au nord du bourg, toujours selon un axe est-ouest. Enfin, la route départementale D 117 relie l'une à l'autre en passant par le bourg.

L'autoroute la plus proche est l'A7.

Puget est desservie par la ligne de cars ZOU no 8 : Cavaillon-Pertuis-Cucuron

Communes limitrophes

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Le territoire du parc naturel régional du Luberon.

Relief et géologie

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La commune est située entre, au nord, le flanc sud du massif du Luberon et, au sud, la vallée de la Durance.

Le massif du Luberon est un massif montagneux formé de terrains du secondaire (crétacé inférieur) et la plaine de la Durance est une plaine alluvionnaire.

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 2,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cadenet », sur la commune de Cadenet à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 14,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 703,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −12,7 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Hydrographie

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La Durance coule au sud et en bordure de la commune.

Au , Puget est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cadenet[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,3 %), terres arables (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), cultures permanentes (8,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,3 %), zones urbanisées (4,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Répartition des sols

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La répartition des sols de la commune est la suivante[15] (donnée pour un total de) :

Type d'occupation Pourcentage Superficie (en hectares)
Zones urbaines 3,59 % 70,79
Zones agricoles 18,34 % 360,19
Zones naturelles 77,00 % 1 512,78
Total 100 % 1 964,40

Les zones naturelles (plus des trois quarts du territoire) sont principalement formées par les forêts méditerranéennes couvrant le petit Luberon. Les zones agricoles sont formées de vergers de fruitiers (oliviers, amandiers, etc.), des champs de lavandin et des vignes (AOC côtes-du-luberon).

La forme la plus ancienne est del Puget, attestée en 1257. L'article provençal a disparu à une date inconnue, il est encore mentionné au XIXe s. Ce toponyme provient de podium (hauteur) et du suffixe diminutif -et[16] (cf. Puy).

Le site fut occupé tardivement comme en font foi les urnes à incinération du Grand Deffend, datées du Bas Empire (Ve, VIe siècles)[17].

La première mention du lieu, en 1257, nomme ce site del Puget et signale son implantation sur un « podium »[18] qui s’est transcrit en « pogito »[17].

Ses premiers seigneurs furent ceux de Puyvert. Tout d’abord Raymond puis son épouse Bérangère qui à sa mort, en 1323, hérite de « Puget Aquensi ». C’est de cette époque que date l’église romane – belle voussure de la porte d’entrée - aujourd’hui placée sous le vocable de l’Immaculée-Conception[17].

Renaissance

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Aucune mention du village n'est faite pendant les périodes troublées par la peste, les guerres et la famine tant au XIVe qu'au XVe siècle. Le village dut pourtant en subir les contrecoups puisqu'un acte d'habitation fut établi au XVIIe siècle pour le repeupler. Il fut signé le par Louis de Merlon, marquis de Bressieux, et sa mère Marguerite de Saint-Michel-Bressieux-Lauris avec quinze chefs de familles. Ils durent défricher 700 charges de terre et construire, dans un délai de cinq ans, un logement pour eux et leur bétail, cette dernière condition leur permettant d’être considéré comme « libres »[17].

Époque moderne

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À la fin du XIXe siècle, le temple protestant fut reconstruit[19] et les géologues découvrirent de l’hématite, minerai de fer oxydé présentant des veines rouge et brune. On pensa immédiatement l’exploiter pour faire des… mines de crayon. L’idée est heureusement restée à l’état de projet, mais il semblerait que les armes du blason s'en soit inspiré[17].

Époque contemporaine

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Le vin des vignobles de la commune a d'abord été classé en VDQS au cours de l'année 1951, puis a accédé à l'AOC en 1988. Ses vignerons adhèrent à l'organisation interprofessionnelle Inter Rhône en 1996. C'est dans son sein qu'est créé en 2001, la Nouvelle École de la Vallée du Rhône[20].

Politique et administration

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Mairie de Puget.

Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de quinze membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[21]).

Lors du scrutin de 2008 Alain Sage a été élu conseiller municipal au premier tour avec 252 voix soit 56 % des suffrages exprimés, puis nommé maire par ceux-ci. La participation s'est élevée à 80,07 %[22]. Lors du scrutin de 2020 Amélie Jean a été élu conseillère municipale au premier tour avec 294 voix soit 93% des suffrages exprimés, puis nommé maire par ceux-ci. La participation s'est élevée à 48,10 %[23].

Liste des maires

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Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Pierre Gregoire    
mars 2008 mai 2020 Alain Sage    
mai 2020 2026 Amélie Jean    
Les données manquantes sont à compléter.

Instances administratives et judiciaires

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Puget est une des neuf communes du canton de Cheval-Blanc depuis 2015. Le canton fait partie de l'arrondissement d'Apt depuis 1801 (sauf de 1926 à 1933 où ce fut Cavaillon) et de la deuxième circonscription de Vaucluse. Puget fait partie du canton de Cadenet depuis 1793[24].

Puget fait partie de la juridiction d’instance d’Apt, mais du greffe détaché Pertuis, et de grande instance, de prud'homale, de commerce et d'affaires de Sécurité sociale d’Avignon[25].

Politique environnementale

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Deux déchetteries sur la communauté de communes des Portes du LuberonLauris et Vaugines) ainsi que deux points spécialisés (pour les branchages, le site de Puget, et pour les gravats, celui de Puyvert).

Points d'apport volontaire pour le verre, les journaux et les emballages.

La commune fait partie du syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) Durance-Luberon qui est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui regroupe 21 communes des 23 communes (Lourmarin et Vaugines n'en font pas partie) des deux cantons de Pertuis et de Cadenet a pour compétence la distribution de l'eau et l'assainissement. Il a été créé en 1989 par transformation du syndicat intercommunal créé en 1946 mais qui n'avait comme compétence que la distribution de l'eau. Il comprend 42 membres (deux par commune). Son président est Maurice Lovisolo (vice-président du conseil général de Vaucluse)[26]. Le prix de l'assainissement est variable dans chaque commune (à cause de la surtaxe communale) alors que celui de l'eau est identique[27].

Fiscalité locale

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L'imposition des ménages et des entreprises à Puget en 2009[28]
Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 7,18 % 0,40 % 7,34 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 8,25 % 0,51 % 9,91 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 40,10 % 1,58 % 28,14 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 20,93 %* 0,83 % 12,63 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[29]).

Population et société

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Démographie

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  • Le recensement de 1826, qui ne serait qu'une réactualisation de celui de 1821, n'a pas été retenu.
  • Le recensement de 1871 a été, pour cause de guerre, repoussé à l'année 1872.
  • Le recensement de 1941, réalisé selon des instructions différentes, ne peut être qualifié de recensement général, et n'a donné lieu à aucune publication officielle.
  • Les résultats provisoires du recensement par sondage annuel réalisé en 2004, 2005 et 2006 selon les communes sont tous, par convention, affichés à 2006

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 864 habitants[Note 4], en évolution de +17,55 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
119120143161175180195219220
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
214220215221207204177174189
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
202221200117121135124121135
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
152131168333475589642652674
2015 2020 2021 - - - - - -
735852864------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune possède une école primaire publique[33], les élèves sont ensuite affectés au collège Le Luberon à Cadenet[34],[35], puis le lycée Val-de-Durance[36] à Pertuis (enseignement général) ou lycée Alexandre-Dumas[37] à Cavaillon soit lycée Alphonse-Benoit[38] à L'Isle-sur-la-Sorgue (enseignements techniques).

La commune possède un terrain multisport.

La commune possède un médecin. Pharmacies les plus proches à Mérindol (à l'ouest) et à Lauris (à l'est). Les hôpitaux les plus proches sont Salon-de-Provence, Apt et Pertuis distants d'une vingtaine de kilomètres.

Agriculture

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La commune produit des vins AOC côtes-du-luberon. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays d'Aigues[39].

Comme l'ensemble des communes du Luberon, le tourisme joue un rôle, directement ou indirectement, dans l'économie locale.

On peut considérer trois principales sortes de tourisme en Luberon. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon et ses environs[40].il est à noter la présence d'un bar restaurant qui est le seul commerce de puget hormis un étal de fruits et légumes ouvert seulement l'été.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Sault

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'argent à un pieu de gueules[42].

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Cadenet comprend deux villes-centres (Cadenet et Lauris) et trois communes de banlieue.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Puget et Cadenet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cadenet », sur la commune de Cadenet - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Cadenet », sur la commune de Cadenet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Cadenet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune de Puget ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. (fr) « Puget sur Durance »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Parc du Luberon.
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1879.
  17. a b c d et e Robert Bailly, op. cit., p. 327.
  18. Un podium désigne une hauteur et, par extension, une colline au sommet arrondi.
  19. Le chantier du temple dura de 1870 à 1871.
  20. La Nouvelle École de la vallée du Rhône regroupe les côtes-de-luberon, les côtes-du-ventoux, les costières-de-nîmes et les coteaux-du-tricastin.
  21. « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance.
  22. « Résultats élections municipales 2008 à Puget », sur linternaute.com.
  23. « Résultats élections municipales 2020 à Puget », sur linternaute.com.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Les Juridictions judiciaires de Vaucluse »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Ministère de la Justice et des Libertés.
  26. « Historique du SIVOM », SIVOM Durance-Luberon.
  27. « Prix de l'eau et de l'assainissement au sein du SIVOM », SIVOM Durance-Luberon.
  28. « Impôts locaux à Puget », taxes.com.
  29. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Enseignement publique primaire en Vaucluse », Académique Aix-Marseille.
  34. « Carte scolaire du Vaucluse »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Conseil général de Vaucluse, .
  35. « Site Collège Le Luberon », Académique Aix-Marseille, .
  36. « Site du lycée Val de Durance », Académique Aix-Marseille, .
  37. « Site du lycée Alexandre Dumas », Académique Aix-Marseille, .
  38. « Site du lycée Alphonse Benoit »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Académique Aix-Marseille, .
  39. Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
  40. Voir Massif du Luberon
  41. Notice no PA00082137, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Armorial des communes du Vaucluse

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Bibliographie

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  • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
  • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986.

Articles connexes

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Liens externes

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