Île de Porquerolles
Porquerolles | |||||
La plage de la Courtade et la pointe du Lequin. | |||||
Géographie | |||||
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Pays | France | ||||
Archipel | Îles d'Hyères | ||||
Localisation | Mer Méditerranée | ||||
Coordonnées | 43° 00′ 02″ N, 6° 13′ 38″ E | ||||
Superficie | 12,54 km2 | ||||
Côtes | 30 km | ||||
Point culminant | 142 m | ||||
Géologie | Île continentale | ||||
Administration | |||||
Région | Provence-Alpes-Côte d'Azur | ||||
Département | Var | ||||
Commune | Hyères | ||||
Démographie | |||||
Population | 200 hab. (2004) | ||||
Densité | 15,95 hab./km2 | ||||
Gentilé | Porquerollais | ||||
Autres informations | |||||
Découverte | Préhistoire | ||||
Fuseau horaire | UTC+1 | ||||
Site officiel | www.provencemed.com | ||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : îles d'Hyères
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Îles en France | |||||
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L’île de Porquerolles est la plus grande et la plus occidentale des trois îles d'Hyères avec ses 12,54 km2 de superficie. Elle se situe à 2,6 km au sud-est de la tour Fondue, l'extrémité sud de la presqu'île de Giens, et à 9,6 km à l'ouest de l'île de Port-Cros.
Elle forme un arc orienté est-ouest, aux bords découpés, de 7,5 km de long sur 3 km de large. Son pourtour est d’une trentaine de kilomètres. L’île culmine au sémaphore à 142 m.
Elle doit son état de conservation au fait qu'elle est propriété de l'État français depuis 1971 et bénéficie du statut de « parc national » depuis 2012.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Du fait de leur position, les îles d'Hyères étaient appelées Stoechades par les Grecs anciens (Pline l'Ancien, Strabon)[1], ce qui veut dire « rangées en ligne », « alignées ». Au premier siècle de notre ère, Porquerolles était désignée par Pline sous le nom d'Hypaea[2],[3].
Présentation
[modifier | modifier le code]Géographie
[modifier | modifier le code]La côte nord est composée de plages de sable bordées de pins, de bruyères et de myrtes odoriférants ; la côte sud, comme à Port-Cros, est abrupte.
Le village de Porquerolles, au fond d'une rade, a donné son nom à l'île tout entière et a été créé à partir de 1820, le phare en 1837 et l'église en 1850.
Le parc national de Port-Cros gère 75 % de l'île depuis 1971 et administre depuis 1979 le Conservatoire botanique national méditerranéen de Porquerolles. Par décret du [4], des parties de Porquerolles et la zone maritime entourant l'île furent incorporées au périmètres des cœurs terrestre et marin de ce parc national.
L'île fait partie de la commune d'Hyères.
Les activités principales sont la randonnée[5] pour ses multiples points de vue[6], le VTT, la plage[7], et la plongée sous-marine.
Des conférences, des animations et des visites guidées des forts de l'île[8] et des domaines du parc national sont également proposées toute l'année au public[9].
Le col du Langoustier domine les plages blanches et noires du Langoustier du haut de ses 43 mètres d'altitude[10].
État de l'environnement
[modifier | modifier le code]L'île est épargnée par les pollutions industrielles directes, et abrite plusieurs espèces rares, dont le Genêt à feuilles de lin (Genista linifolia L.), indigène dans l'île de Porquerolles et qu'on ne trouve ailleurs qu'aux Canaries, dans la péninsule ibérique, en Italie et en Afrique du Nord[11].
Comme Port-Cros[12], Porquerolles est exposée à la pollution par les embruns marins, qui peut être suffisante pour tuer des plantes ou des arbres en Méditerranée[13],[14].
Depuis 2020, une régulation des flux touristiques est mise en place, comme pour d'autres lieux victime du phénomène de sur-tourisme[15].
Climat
[modifier | modifier le code]Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 7,5 | 7,1 | 8,9 | 10,9 | 14,1 | 17,6 | 20 | 20,5 | 17,6 | 14,8 | 10,9 | 8,5 | 13,2 |
Température moyenne (°C) | 10,4 | 10,3 | 12,4 | 14,5 | 18 | 21,8 | 24,3 | 24,8 | 21,6 | 18 | 13,8 | 11,1 | 16,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 13,2 | 13,5 | 15,9 | 18,1 | 22 | 26 | 28,7 | 29 | 25,5 | 21,3 | 16,7 | 13,8 | 20,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−7 12.1987 |
−10 02.1956 |
−5,8 06.1971 |
2 12.1958 |
6,4 05.1987 |
9 06.1969 |
10,2 20.1981 |
11,5 08.1978 |
9,7 27.2020 |
3,5 28.2012 |
−1,2 22.1988 |
−2 17.1963 |
−10 1956 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20 19.2007 |
22 23.1990 |
23,5 21.2002 |
26,8 16.2007 |
32,9 27.2022 |
36,5 27.2019 |
37 07.1982 |
38,5 07.2003 |
33,1 01.2019 |
29,2 02.2011 |
24,8 06.2004 |
22,5 10.2004 |
38,5 2003 |
Précipitations (mm) | 64,1 | 48,1 | 42,1 | 56,5 | 33,8 | 28,5 | 8,4 | 15,9 | 60,5 | 85,5 | 96 | 66,3 | 605,7 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm | 6 | 5,3 | 4,7 | 5,8 | 4 | 2,3 | 0,8 | 1,7 | 4,3 | 6,5 | 7,6 | 6,4 | 55,5 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm | 3,2 | 2,8 | 2,7 | 3,2 | 1,7 | 1 | 0,4 | 0,6 | 2,4 | 4,1 | 4,5 | 3,5 | 30,2 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm | 2,1 | 1,3 | 1,3 | 1,7 | 0,8 | 0,7 | 0,3 | 0,3 | 1,6 | 2,7 | 3 | 2 | 17,9 |
Porquerolles bénéficie d'un climat méditerranéen subtropical avec des étés chauds (moyenne de 25 °C) et des hivers doux (moyenne de 11 °C) ce qui en fait l'un des endroits les plus chauds de France métropolitaine avec un moyenne annuelle de 16,8 °C.
Histoire
[modifier | modifier le code]Porquerolles semble avoir été occupée par les Celtes, les Ligures puis les Phocéens, comme l'attestent notamment la découverte et les fouilles archéologiques d'un petit village de pêcheurs massaliotes dans l'anse de la Galère[16]. L'île aurait été la Protè (première) ou la Mésé (au milieu) des colons grecs qui s'étaient installés sur son rivage.
La présence d'une population romaine ultérieure est attestée par maintes découvertes sur l'île (le village antique, la stèle du premier siècle sous la ferme Notre-Dame, des thermes mosaïqués, etc.).
Saint Honorat qui fonda le monastère de Lérins serait venu se recueillir à Porquerolles où un monastère détaché aurait été fondé au Ve siècle, comme probablement sur l'île du Levant voisine. Plus tard au Moyen Âge, un nouveau monastère a été construit dans l'île. Il a été l'objet de disputes sur sa propriété entre les « moines noirs » (bénédictins) et les « moines blancs » cisterciens. Il semble qu'il dépendait, au moins pendant un temps, de l'abbaye du Thoronet, célèbre abbaye cistercienne de Provence.
Comme sur toutes les îles de Méditerranée depuis la fin de l'Empire romain, les habitants eurent à subir les pillages des pirates. Pour lutter contre la piraterie barbaresque Charles II, comte de Provence et roi de Sicile, concéda l'île à Pierre Mègre de Toulon en 1304. À ce propos, il existe une surprenante galerie dans une calanque de la côte ouest de l'île. Dénommée « Trou du Pirate » par la tradition populaire, elle aurait été creusée au XVIe siècle par les pirates barbaresques afin d'y dissimuler le fruit de leurs rapines. Mais l'usage de ce souterrain reste incertain[17].
En 1471, Porquerolles appartenait à Palamède de Forbin, ministre du roi René.
En 1522, les chevaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem chassés de Rhodes par Soliman cherchèrent une base de repli. Ils demandèrent au roi François Ier l'autorisation de s'installer aux îles d'Hyères. Finalement Charles Quint fit accepter l'île de Malte au grand maître, Villiers de l'Isle Adam.
En 1579, le roi Henri III rachète Porquerolles aux comtes de Carcès et s'engage à maintenir la garnison de Porquerolles. En 1581, Alphonse d'Ornano est chargé du fort de Porquerolles et l'île sera donnée à son descendant François d'Ornano en 1637. Les attaques pirates demeurent très fréquentes et l'entretien des installations militaires reste très aléatoire. Au décès de François d'Ornano, sa veuve vend l'île qui est érigée en marquisat au profit de François Molé, ancien évêque de Bayeux, conseiller et maître des requêtes au parlement de Paris sous Louis XIV.
En 1707, au cours de la guerre de Succession d'Espagne, l'armée du duc Victor Amédée II de Savoie s'empare d'Hyères. Repoussés à Port-Cros, les Savoyards s'emparent facilement de Porquerolles qui n'est guère défendue. L'île devient la propriété de la famille lorraine de Lenoncourt en 1737. Au moment de la Révolution les Lenoncourt ayant émigré, la famille Marquant d'Hyères achète Porquerolles pour la somme de 34 800 francs.
En 1793, les Anglais occupent les îles d'Hyères en même temps que Toulon. Ils les quittent ravagées en 1794. Napoléon, alors capitaine, pose les premières grandes bases des fortifications des îles (forteresse centrale, batteries côtières, vigie, etc.). La plupart de ces bases seront ensuite améliorées, notamment à partir de 1848.
En 1826, la société Rigaud, Crémieux et Delpuget, implantée à Septêmes près de Marseille et devenue indésirable pour cause de pollution, délocalise au Langoustier sa fabrique de soude[18]. Le directeur, le gérant et le contremaître étaient logés sur place ainsi que les familles des 150 ouvriers qui bénéficiaient d'une "coopérative". L’usine utilisait le procédé Leblanc avec du sel marin comme matière première. Cette fabrique restera active jusqu'en 1876 et ses déchets donneront sa couleur noire à la plage du Langoustier[19].
En 1856, le second duc de Vicence, marquis de Caulaincourt, fils du célèbre diplomate achète l'île pour 202 000 francs. Il aurait laissé « un excellent souvenir »[20].
Porquerolles devient en 1881 la propriété de Léon de Roussen pour 800 000 francs. Ce dernier était en lutte « acharnée » contre l'administration militaire et contre les Porquerollais à propos notamment de propriétés qu'il exigeait de retrouver.
En 1905, la Compagnie Foncière de l'île de Porquerolles est fondée avec le crédit très solide de la banque de Suez et sur la base d'un actionnariat. Elle rachète l'île pour 1 500 000 francs et fait de très considérables travaux : construction d'une centrale électrique, bassins de rétention d'eau en béton armé, canalisations, serres, vaste habitation à la Ferme, ateliers divers, logements ouvriers, mises en cultures, élevages d'animaux, etc. Mais "mal gérée"[20], cette compagnie vient rapidement à bout des fonds de ses actionnaires. Et l'avenir du domaine devient incertain après cet échec que même la banque de Suez n'a pu éviter. Le domaine de l'île est finalement revendu en 1912 pour un prix relativement dévalorisé de 1 000 100 francs à François Joseph Fournier, ingénieur civil diplômé de l'école des Mines d’Alès. Ce dernier, fils d'un batelier belge, avait fini par faire fortune dans la prospection aurifère au Mexique, après des années d'une vie d'aventurier assez extraordinaire passant par le Canada, le Panama et la Californie. À partir de son achat de Porquerolles et jusqu'à sa mort survenue en 1935, Fournier s'attela à y continuer le développement d'une exploitation agricole que l'isolement devait rendre autonome. En 1971, l'État confie au Parc national de Port-Cros la gestion et la mise en valeur des 1 000 hectares de l'ancien Domaine Fournier qu'il vient d'acquérir sur l'île de Porquerolles, sur proposition en conseil des ministres d'André Bettencourt[21]. Le Parc devient propriétaire par dotation de l'État en 1985 de cette surface qui représente 80 % de l'île.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L’église Sainte-Anne possède un chemin de croix gravé au couteau par un soldat anonyme[22].
- La calanque de l'Oustaou-de-Diou (« maison de Dieu »), a été dénommée ainsi par les pêcheurs parce qu'elle est le seul abri de la côte sud.
- Le château Sainte-Agathe du XVIe siècle. En 1793, un amiral anglais vint abriter sa flotte dans les îles ; le commandant français du fort ignorant les évènements du continent, invita l'amiral anglais à sa table. Pendant que l’officier français était mis en confiance par des libations, les marins anglais débarquèrent, évacuèrent la garnison et firent sauter le fort.
- Le fort du Grand Langoustier, affecté avec la presqu'île du même nom par le Ministère de la Défense au Conservatoire du littoral[23] et restauré depuis 1998 par le docteur Paul Vuillard[24].
- Le fort de la Repentance construit au XIXe siècle est devenu un monastère orthodoxe[25],[26].
- Le phare du cap d'Arme, situé à la pointe extrême Sud portant le même nom[27].
- Le moulin, datant du XVIIIe siècle, a été restauré en 2007[28].
- Une grande partie des films Pierrot le fou de Jean-Luc Godard (1965) et Mon ami Maigret de François Villiers (1973) a été tournée sur l'île et la mer alentour : on y aperçoit le port et le village avant l'ère du tourisme de masse. Le film L'Origine du mal de Sébastien Marnier (2022) se déroule aussi sur cette île[29].
- Depuis 2018, l'île accueille la « Fondation Carmignac »[30] qui y présente des œuvres d'art moderne, organise des événements culturels et participe à l'entretien du patrimoine[31].
Loisirs
[modifier | modifier le code]La randonnée dans les îles de Méditerranée se pratique sur l'île de Porquerolles. La partie occidentale de l’île comporte un parcours de randonnée relativement sportif[32] allant à la plage d’Argent[32] et la calanque du Maure[32] et passant par quelques petites montées surnommées mont de Tiélo et montagne de Robert[32]. L'île est propice à la pratique de nombreuses autres activités de loisirs : baignade, plages, bateau, plongée sous-marine.
Dans l'art et la culture
[modifier | modifier le code]- La bande dessinée Mystère à Porquerolles est le deuxième tome de la série Ric Hochet[33].
- Le roman La vie secrète des écrivains de Guillaume Musso se déroule sur une île non nommée mais dont la carte en début d'ouvrage s'apparente beaucoup à celle de Porquerolles[34],[35].
- Le roman Mon ami Maigret se déroule à Porquerolles
Galerie de photos
[modifier | modifier le code]-
Calanque et pointe du Brégançonnet, au sud de Porquerolles.
-
Calanque Oustau de diou, au sud.
-
Les falaises de la côte sud de Porquerolles.
-
Soleil levant sur la côte sud de Porquerolles.
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Plage de Notre Dame.
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Fort Saint-Agathe.
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Paysage porquerollais.
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Paysage porquerollais.
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Paysage porquerollais.
-
Paysage porquerollais.
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L'église de Porquerolles.
-
Le moulin de Porquerolles.
-
Plage Notre Dame vue depuis le Puncho dou Buoan Dièu.
-
Puncho dou Buoan Dièu.
-
Monastère orthodoxe Sainte-Marie.
-
Cabanes des premiers ermites chrétiens de la Gaule narbonnaise.
-
Plage de la Courtade.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Olbia de Provence, retour sur la campagne 2019 », sur arpamed.fr (consulté le ).
- "Hypaea", Dictionnaire Gaffiot, latin-français, 1934, consulté le 25 juillet 2020.
- "Hypaea", Wiktionnaire, consulté le 25 juillet 2020.
- Décret no 2012-649 du 4 mai 2012 portant modification du décret no 2009-449 du 22 avril 2009 pris pour l'adaptation de la délimitation et de la réglementation du parc national de Port-Cros aux dispositions du code de l'environnement issues de la loi no 2006-436 du 14 avril 2006.
- « Quelques itinéraires, 51 km de sentiers balisés », sur portcrosparcnational.fr (consulté le ).
- « Points de vue », sur portcrosparcnational.fr (consulté le )
- « Les plages », sur portcrosparcnational.fr (consulté le ).
- « Forts et batteries à Porquerolles », sur portcros-parcnational.fr (consulté le ).
- « Les maisons de Parc national », sur portcros-parcnational.fr (consulté le ).
- « Le Langoustier - La Plage d’Argent - Curé de Porquerolles (Var) », sur l.20-bal.com (consulté le ).
- Aboucaya A., Crouzet N., Pavon D., & Medail F. (2012) Flore vasculaire des îlots satellites de l’île de Porquerolles et de la presqu’île de Giens (Var, France) ; Sci. Rep. Port-Cros natl. Park, 26: 17-43.
- Bourrely, M., & Chérel, O. (1985). Impact des Embruns sur la Végétation Littorale de l’île de Port Cros. Rapport interne au Parc Natl. de Port Cros, Hyères. Var. Fr.
- Despiau, S. (1993-1995) Caractérisation des embruns marins pollués en relation avec le dépérissement de la végétation du littoral de l'île de Porquerolles ; Rapport commandée par le Ministère de l'environnement, Service de la recherche et des affaires économiques, à l'Université de Toulon (Laboratoire d'océanographie physique de Toulon), 22 pages (notice Inist CNRS).
- Hugonnot V. (2007) Les bryophytes de l'ile de Porquerolles (Hyères, Var, France): inventaire, atlas, groupements bryophytiques et intérêt patrimonial ; Sci. Rep. Port-Cros natl. Park, Fr., 22 : 67-194.
- Maxime Ponsot, « « Surtourisme » : six lieux français qui connaissent une explosion de fréquentation récente », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Brun J.-P. 1991, Le village massaliote de La Galère (Île de Porquerolles, Hyères, Var), Documents d'Archéologie Méridionale, vol. 14, n°1, p. 239-276 Lire en ligne.
- Roche L. et Masson Mourey J., « Le Trou du Pirate. Prospection inventaire et relevés topographiques en région Provence-Alpes-Côte d’Azur sur l’île de Porquerolles - commune d’Hyères (Var, 83) », sur hal.archives-ouvertes.fr, (consulté le ).
- « Porquerolles entre vocation militaire et patrimoine », sur fdbda.org, (consulté le ).
- « Plage noire du Langoustier », sur hyeres-tourisme.com (consulté le ).
- Émile Jahandiez, les îles d'Hyères - monographie, , p. 51.
- « Communiqué de presse du conseil des ministres du 6 janvier 1971 », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr, (consulté le )
- « Eglise Sainte Anne », sur hyeres-tourisme.com (consulté le )
- « Grand Langoustier », sur conservatoire-du-littoral.fr (consulté le )
- « Le fort du Grand Langoustier » [PDF], sur lashha.perso.sfr.fr (consulté le ).
- « Du fort de la Repentance au monastère Sainte-Marie du Désert », sur portcros-parcnational.fr (consulté le ).
- « Fort de la Repentance », sur hyeres-tourisme.com (consulté le )
- « Le Phare de Porquerolles », sur hyeres-tourisme.com (consulté le )
- « Le Moulin de Porquerolles, Son histoire », sur porquerolles-patrimoine.fr.
- « Le parc national de Port-Cros », sur portcros-parcnational.fr.
- « Découvrez en avant-première la fondation Carmignac et son exposition inaugurale », sur Var Matin, (consulté le ).
- « Signature d’une convention entre le parc national et Carmignac », sur Var-Matin, (consulté le )
- « France : randonnées dans les îles : Méditerranée », sur routard.com (consulté le ).
- « BD Mystère à Porquerolles », sur bedetheque.com, (consulté le ).
- « Un huis clos sur une île qui ressemble à Porquerolles": Guillaume Musso nous présente son dernier thriller », sur nicematin.com, (consulté le ).
- « La vie secrète des écrivains de Guillaume Musso », sur marienel-lit.over-blog.com, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jahandiez Emile , Toulon, Les îles d'Hyères : histoire, description, géologie, flore, faune. éd. Rebufa & Rouard, Toulon. 447 pp. Réédité 1997 (ISBN 2-7348-0443-3)
- William Luret, L'Homme de Porquerolles, éd. Jean-Claude Lattès, , 386 p. (ISBN 978-2709616362)
- Philippe J. Dubois et Nidal Issa, « Porquerolles, face aux migrateurs (Archipel d'Hyères, Var) », Ornithos, Rochefort, Ligue pour la protection des oiseaux, vol. 14-3, , p. 176-183 (ISSN 1254-2962)
- "Les îles d'Hyères. Fragments d'histoire", collectif, (dir. J. P. Brun), Arles, Actes Sud-Parc Régional de Port-Cros, 1997.
- René Dinkel, Suivez le guide - Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur, 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 2-906035-00-9)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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