Ginchy
Ginchy | |||||
La mairie | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC de la Haute Somme | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Delmotte 2020-2026 |
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Code postal | 80360 | ||||
Code commune | 80378 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
70 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 01′ 27″ nord, 2° 50′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 85 m Max. 157 m |
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Superficie | 5,92 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Péronne | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://ginchy.fr | ||||
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Ginchy est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Flers, Morval, Combles, Gueudecourt, Guillemont, Lesbœufs, Longueval et Maurepas.
Description
[modifier | modifier le code]La commune de Ginchy est située à l'extrémité nord-est du département de la Somme à la limite du Pas-de-Calais. Elle est distante de la ville d'Albert, d'une quinzaine de kilomètres.
Le sentier de grande randonnée de pays (GRP) de la Bataille de la Somme passe dans le village.
En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 54, Lesbœufs - Péronne)[1].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le sol et le sous-sol de la commune sont de formations tertiaire et quaternaire ; l'argile domine[2].
Au nord de la commune, on rencontre une série d'ondulations qui appartiennent aux collines de l'Artois bordant un plateau au sud sur lequel a été bâti le village de Ginchy. Le point culminant de la commune se trouve au lieu-dit le Télégraphe à 156 m d'altitude où se trouvait jadis un relais du télégraphe de Chappe[2]'.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Ginchy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]La commune de Ginchy possède un habitat groupé le long de la route qui mène à Flers et à Lesbœufs. Il n'y a ni hameau ni ferme isolée sur le territoire communal.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 37, alors qu'il était de 41 en 2013 et de 36 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 73,5 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 23,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,5 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ginchy en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,9 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (83,3 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Ginchy[I 2] | Somme[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 73,5 | 83,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2,9 | 8,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 23,5 | 8,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Ginchi en 1150 (Roger, châtelain de Péronne. Cartulaire d’Arrouaise.) ; Genci en 1158 (Baudouin, évêque de Noyon. Cartulaire d’Arrouaise.) ; Genciacum en 1202 (Cartulaire de Lihons) ; Genchy en 1202 (Cartulaire de Lihons) ; Quinchi en 1217 (Nivelon, maréchal de France.) ; Cinchi en 1240 (Lettre de Louis IX) ; Geincy en 1567 (Coutume de Péronne) ; Ginchy en 1733 (G. Delisle) ; Guinchi en 1787 (Picardie méridionale) ; Gency sans date (M. Decagny)[13].
Albert Dauzat qui ne cite aucune forme ancienne, signe qu'il n'en connaît pas, suppose qu'il s'agit d'un toponyme en -acum[14], suffixe d’origine gauloise indiquant le lieu et la propriété, Ernest Nègre lui emboite le pas[15]. Les formes anciennes (voir supra) vont effectivement dans ce sens.
Cependant, l'interprétation du premier élément par le nom d’homme gaulois Gimmius ou germanique Gingi[14] est contredite par la nature des formes anciennes. En revanche, E. Nègre qui ne connaît pas non plus de forme ancienne suggère le nom de personne latin Gentius[15], qui semble se retrouver dans les mentions Genciacum (1202) > Genci (1158). La forme actuelle Ginchy possède les traits de la phonétique picarde, -en- en français correspondant à -in- et -c- / -ss- à -ch- (chuintement normanno-picard).
Homonymie avec Gençay (Vienne, Gentiaco 986) ; Gensac (Gironde, Genzago XIe siècle) ; Gensac-la-Pallue (Charente, de Gentiaco 1096 - 1106), noms de lieux que le même A. Dauzat considère formés sur le nom de personne latin Gentius dérivés à l'aide du suffixe -acum[14].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Ginchy était compris dans l'ancienne forêt d'Arrouaise. Ce fut un fief des châtelains de Péronne qui l'aliénèrent à l'abbaye d'Arrouaise, à l'abbaye du Mont Saint-Quentin et au prieuré de Lihons-en-Santerre.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les habitants connaissent- une période de misère du fait des invasions espagnoles, du petit âge glaciaire et de la famine de 1709. Cependant, l'église du village est reconstruite en 1770.
Deux jeunes gens du villages combattent dans les armées de Napoléon : l'un meurt en Espagne en 1809, l'autre en Allemagne en 1813.
Lors de la Deuxième République, en 1849, : comme dans toutes les communes de France, la population masculine majeure peut, pour la première fois, aller voter grâce à l'instauration du suffrage universel masculin.
- Voici la répartition (en nombre) de quelques patronymes des électeurs :
DELATTRE, 1 |
.
Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, la population souffre de l'occupation prussienne de 1870-1871.
La commune de Ginchy est le théâtre de violents combats de la Première Guerre mondiale, pendant la bataille de la Somme., notamment lors de la bataille de Ginchy, le , lors de la bataille de la Somme.
Le village est considéré comme totalement détruit à la fin de la guerre[16] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [17]. Les photographies aériennes réalisées entre juillet et septembre 1916 montrent en effet que le village a été totalement rasé par les bombardements[18].
-
Soldats britanniques dans une tranchée allemande
-
Champ de bataille
-
Soldats allemands prisonniers de l'armée britannique
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Combles[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Péronne
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Penvénan était membre de la petite communauté de communes du canton de Combles, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi du de réforme des collectivités territoriales, qui prévoit que les intercommunalités doivent regrouper au moins 5 000 habitants, la communauté de communes est dissoute le et cerftaines de ses communes, dont Ginchy, rejoignent la communauté de communes de la Haute Somme, dont est désormais membre la commune
Liste des maires
[modifier | modifier le code]²
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2021, la commune comptait 70 habitants[Note 2], en évolution de +11,11 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre, reconstruite dans l'entre-deux-guerres après la destruction de l'édifice précédent en 1916 et dont de gros travaux d'entretien se sont achevés en 2023[23].
- Monument à la Guards Division sur la route entre Ginchy et Lesbœufs
- Monument aux morts[28].
-
L'église Saint-Pierre
-
Le monument aux morts.
-
Vie de Charles François.
-
Monument à la Guards Division
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Charles-François François (1775-1853), chevalier de Saint-Louis, officier de la Légion d'honneur, militaire ayant participé à toutes les campagnes de la Révolution et de l'Empire, y est né[29].
- Caporal May, inhumé à Ginchy le , à 30 ans.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Coupé : au 1er de gueules à deux clés d'argent passées en sautoir surmontées de la lettre capitale G du même, au 2d d'azur à un phénix d'or dans son immortalité de gueules[30]. |
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Détails | Adopté début 2023. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Ginchy (80378) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/7//2023 (consulté le ).
- « Ginchy » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO , Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.
- « Ginchy : vues aériennes la destruction progressive du village entre juillet et septembre 1916 », archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Ginchy » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Ginchy ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Ginchy - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Ginchy - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Somme - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Notice géographique et historique sur la commune de Ginchy, rédigée M. Becquet, instituteur, 199?, Archives départementales de la Somme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ginchy et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 425 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 315a-320a.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume I : formations pré-celtiques, celtiques et romanes, Librairie Droz, Génève, 1990, p. 559, n° 9125 (lire en ligne sur Google Livres) [2]
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16878.
- « Fonds Marcel Pithois, commerçant en vins et érudit châlonnais - Documents de la guerre 1914-1918 - Archives départementales de la Marne », sur Archives départementales de la Marne (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « André, Jean Godin (1900-1989) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme : 1787-2021, Amiens, Archives départementales de la Somme, , 3e éd. (1re éd. 2011), 566 p. (lire en ligne [PDF]), p. 196.
- « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection du Président. de la République », Journal officiel de la République française, , p. 1048.
- « L'ancien maire et l'église honorés à Ginchy : Jean Marc Delmotte, le maire de la commune, a inauguré l'église qui a subi de grosses rénovations. Il en a profité pour mettre à l'honneur Geneviève Desailloud qui occupait ses fonctions avant lui, en la faisant maire honoraire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « De 1977 à 1989, elle a été conseillère municipale de Ginchy. En 1989, le maire Pierre Vasseur lui passera le flambeau et ce, jusqu'en 2014, où elle reprend un mandat de conseillère pour seconder Jean-Marc Delmotte ».
- « Jean-Marc Delmotte s'offre un 2e mandat de maire de Ginchy », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « L'esplanade du monument aux morts de Ginchy rénovée : Ce 11 novembre 2022, la commémoration a permis d'inaugurer une esplanade dont le pavage a entièrement été refait », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Blason de Ginchy », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).