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Guillaucourt

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Guillaucourt
Guillaucourt
Église Saint-Éloi de Guillaucourt
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Ludovic Kusnierak
2020-2026
Code postal 80170
Code commune 80400
Démographie
Gentilé Guillaucourtois
Population
municipale
395 hab. (2021 en évolution de −6,4 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 50′ 34″ nord, 2° 37′ 56″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 96 m
Superficie 6,37 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Guillaucourt
Géolocalisation sur la carte : France
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Guillaucourt
Géolocalisation sur la carte : Somme
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Guillaucourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Guillaucourt

Guillaucourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Ce village picard du Santerre est aisément accessible par l'ancienne RN 29 (RD 1029) et les autoroutes A29 et A1.

Guillaucourt est située à 24 km au sud-est d'Amiens.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Luce[Carte 1].

La Luce, d'une longueur de 18 km, prend sa source dans la commune de Caix et se jette dans l'Avre à Thennes, après avoir traversé 13 communes[1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Guillaucourt[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[2].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 758 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Guillaucourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,6 %), zones urbanisées (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), forêts (3,1 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Gislocourt est relevé en 1145. Gissocourt puis Guillaucourt apparaissent en 1301[14]. Après l'absorption de Enguillaucourt, la commune porte fugacement le nom de Guillaucourt et Enguillaucourt[15].

Ces noms de localités se terminant par -court sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages. Ferdinand Lot a montré que les noms terminés en court était des noms formés par des gens parlant une langue romane[16]. Le préfixe était souvent - mais pas toujours - le nom d'une personne germanique. Court est dérivé du latin vulgaire curtis signifiant, cour de ferme, ferme puis village. La formation des toponymes de ce type remonte au haut Moyen Âge et cesse au Xe siècle[17].

Le nom du village pourrait provenir du nom d'un propriétaire, équivalent à « Guillaume »[18].

  • Des grattoirs, des pointes de flèches et des haches polies en silex ont été retrouvés dans les champs[18].
  • Une voie romaine allant de Boves à Lihons traverse le territoire[14].
  • Une cave gothique du XIIIe siècle a appartenu à une commanderie militaire, au sud du village[18].
  • Les fiefs d'Achicourt et de Pierrepont sont attestés. Au XVe siècle, ils appartiennent à la famille de Lannoy. Ils seront transmis par mariage à la famille d'Averoult[14] (famille d'Averhoult).
  • En 1653, Guillaucourt souffre des ravages causés par les Espagnols[14].
  • Entre 1795 et 1800, la commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe celle de Enguillaucourt[15].
  • À la fin de l'épopée napoléonienne, en 1814 et 1815, les habitants sont exposés aux contraintes des Cosaques[14].
  • Au terme de la guerre franco-allemande de 1870, le village est occupé deux mois par l'armée allemande, et la population subit de lourdes réquisitions[14].
  • La Première Guerre mondiale a durement éprouvé le village. La gare de Guillaucourt (aujourd'hui fermée), sur la ligne d'Amiens à Laon, a été utilisée pour les besoins militaires[19],[20].
Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].
  • L'église a été restaurée en 1922[22].

Politique et administration

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Rattachement administratifs et électoraux

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La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[23]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rosières-en-Santerre[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[24].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[25],[26],[27]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [28], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [29].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[30].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Louis-Claude Holvoet   Professeur de mathématiques
mars 2008[31] mai 2020 Jérôme Holvoet   Agent général d'assurances
Vice-président de la communauté de communes du Santerre (2014 → 2016)
mai 2020[32] En cours
(au 29 mai 2020)
Ludovic Kusnierak   Directeur de l'école de Moreuil

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 395 habitants[Note 3], en évolution de −6,4 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
516322636553565589569572521
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
502500549574567600555552529
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
523480448504416423382408416
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
363340323302296305368375387
2015 2020 2021 - - - - - -
422400395------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Les communes de Bayonvillers, Lamotte-Warfusée et Guillaucourt gèrent l'enseignement primaire au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal[36].

L'école primaire publique locale compte 24 élèves pour l'année scolaire 2016-2017. Elle est située en zone B, dans l'académie d'Amiens[37].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Chapelle de la Vierge. Elle a été édifiée en 1870, en brique et pierre. Ses ouvertures sont réalisées en forme d'ogive[18].
  • Monument aux morts de la Première Guerre mondiale financé par souscription publique et édifié en 1922 par Teisseire, entrepreneur à Vichy, sous la direction de Paul Martin, architecte à Guillaucourt, avec la collaboration du sculpteur amiénois Auguste Carvin[41] pour la sculpture[42].
  • Ancien site industriel de l'usine d'engrais créée vers 1925 par M. Seret, à côté de l'ancienne sucrerie Coquin Ch. et Th. Normand détruite au cours de la Première Guerre mondiale. Le site employait une cinquantaine de salariés en 1954[43].

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Guillaucourt » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « la Luce »
  2. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Guillaucourt et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Guillaucourt ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d e et f Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Guillaucourt, M. Lescureux, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens. Lire en ligne.
  15. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Romania, LIX, 1933
  17. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969
  18. a b c et d André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 243-244 (ASIN B000WR15W8).
  19. Cliché Templier, Section photographique de l'armée, « Photo : Guillaucourt (Somme). Gare », Fonds des Albums Valois - Catégories. Cat XI, transports 2 - Transports de munitions et de matériel, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, 1914 à 1918 (consulté le ).
  20. Cliché Templier, Section photographique de l'armée, « Photo : Gare de Guillaucourt (Somme). [Prisonniers allemands déchargeant des rondins] », Fonds des Albums Valois - Catégories. Cat XIII, prisonniers allemands - Prisonniers employés à des travaux divers, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  21. Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17583.
  22. Panneau d'informations près de l'église.
  23. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  24. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s'est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l'occasion d'annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  25. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  26. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  27. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L'annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  28. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  29. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  30. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  31. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « Ludovic Kusnierak devient maire de Guillaucourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ludovic Kusnierak, directeur de l'école publique de Rosières-en-Santerre, succède à Jérôme Holoet au poste de maire ».
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Le Courrier Picard, « Carte scolaire, ils restent mobilisés », dimanche 25 février 2018, p. 8.
  37. Lire sur le site de l'éducation nationale.
  38. « Jardin d'agrément », notice no IA80000547, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Oswald Macqueron, « Aquarelle : A) Chapelle à Guillaucourt, canton de Rosières, d'après nature, 30 mai 1875. B) Église de Guillaucourt, canton de Rosières, chef-lieu de canton, d'après nature, 30 mai 1875 », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  40. Section photographique de l'armée, « Photo : Chantilly. Au château : dépôt du service d'évacuation des œuvres d'art ; objets provenant de l'église de Guillaucourt (Somme) », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 32, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  41. « Statue : allégorie du deuil », notice no IM80000069, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. « Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 », notice no IA80000060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Usine d'engrais Seret, puis les engrais de Roubaix », notice no IA00076547, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.